Pas d’accord du tout avec les propos du Chef de l’Etat, Jean-Paul Dias indique que s’il y a quelqu’un qui devrait être accusé de troubles à l’ordre public, cela doit être Abdoulaye Daouda Diallo et non les manifestants.
«Nous ne sommes pas dans l’opposition mais en tant que démocrates, nous devons dire la vérité. Et la vérité, c’est que le ministre de l’Intérieur et le Préfet ont été à l’origine de la pagaille», scande l’allié du président de la République, sur la Rfm.
Le père de Barthélémy Dias d’embrayer: «les dispositions de la Constitution concédant aux gens le droit de marche, les arrêtés minables ne doivent pas «bloquer» ces libertés».
S’agissant de la tentative de l’opposition de forcer les barrières, ce qui reste à prouver selon les propres termes du leader du BCG (Bloc Centriste Gaïndé), les forces de l’ordre disposent de techniques pouvant contenir cette affluence.
D’autant plus, souligne-t-il : qu’avec leurs grenades lacrymogènes, les manifestants avaient reculé mais les forces de l’ordre en ont fait fi continuant leurs poursuites jusqu’à l’avenue Bourguiba.
Jean Paul Dias de dénoncer les tirs de grenades lacrymogènes à l’intérieur de la mairie de Mermoz - Sacré Cœur.
Pour lui, le débat est faussé depuis le dialogue national. Convoqué par le président de la République, Jean Paul Dias précise que c’est le Chef de l’Etat qui a été le premier à ne pas l’avoir suivi sinon on ne serait pas dans cette situation.
«Nous ne sommes pas dans l’opposition mais en tant que démocrates, nous devons dire la vérité. Et la vérité, c’est que le ministre de l’Intérieur et le Préfet ont été à l’origine de la pagaille», scande l’allié du président de la République, sur la Rfm.
Le père de Barthélémy Dias d’embrayer: «les dispositions de la Constitution concédant aux gens le droit de marche, les arrêtés minables ne doivent pas «bloquer» ces libertés».
S’agissant de la tentative de l’opposition de forcer les barrières, ce qui reste à prouver selon les propres termes du leader du BCG (Bloc Centriste Gaïndé), les forces de l’ordre disposent de techniques pouvant contenir cette affluence.
D’autant plus, souligne-t-il : qu’avec leurs grenades lacrymogènes, les manifestants avaient reculé mais les forces de l’ordre en ont fait fi continuant leurs poursuites jusqu’à l’avenue Bourguiba.
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