A l’instar des autres pays africains, le Sénégal a organisé ce matin à Keur Birago Bu Bess, la journée internationale de l’écrivain africain. Présidée par Abdoulaye Wade, cette journée est un prétexte pour rendre hommage à l’écrivain poète, dramaturge Mamadou Traoré Diop, rappelé à Dieu le 3 septembre passé. C’est ainsi que la cérémonie d’ouverture a été empreinte d’émotions avec des souvenirs surgissant d’un peu partout à travers des textes lyriques.
L’homme dont on se souvient aujourd’hui est l’un des membres fondateurs de l’association panafricaine des écrivains (Pawa). Et comme l’a rappelé le chef de l’Etat, « il a été de tous les fronts en écrivain engagé ». Il ajoute même à cet effet, que l’homme n’était pas « quelqu’un qui s’enfermait dans un bureau pour ses combats ». Ce que confirme Alioune Badara Bèye, président de l’association des écrivains du Sénégal, « Mamadou Traoré Diop fût de tous les combats : de Brazzaville (1987) à Séoul (2000), il porta la parole de l’écrivain sénégalais et africain à travers les tempêtes hivernales, les frontières, en rébellion avec la fermeté et la diligence qui le caractérisaient». Une raison suffisante à les croire pour qu’il soit présenté aux jeunes générations qui ont tout intérêt à le connaître. Sa pipe peut être cassée, comme disait l’autre, mais sa plume non. Ainsi, ses œuvres doivent être vulgarisées. Un espace lui est dédié à Keur Birago Bu Bess.
L’homme dont on se souvient aujourd’hui est l’un des membres fondateurs de l’association panafricaine des écrivains (Pawa). Et comme l’a rappelé le chef de l’Etat, « il a été de tous les fronts en écrivain engagé ». Il ajoute même à cet effet, que l’homme n’était pas « quelqu’un qui s’enfermait dans un bureau pour ses combats ». Ce que confirme Alioune Badara Bèye, président de l’association des écrivains du Sénégal, « Mamadou Traoré Diop fût de tous les combats : de Brazzaville (1987) à Séoul (2000), il porta la parole de l’écrivain sénégalais et africain à travers les tempêtes hivernales, les frontières, en rébellion avec la fermeté et la diligence qui le caractérisaient». Une raison suffisante à les croire pour qu’il soit présenté aux jeunes générations qui ont tout intérêt à le connaître. Sa pipe peut être cassée, comme disait l’autre, mais sa plume non. Ainsi, ses œuvres doivent être vulgarisées. Un espace lui est dédié à Keur Birago Bu Bess.
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