« Nous savons tous objectivement que l’actif routier national légué par le régime précédant est largement en deçà des normes internationales et surtout des aspirations des sénégalais… », a dit Karim Wade à l’ouverture de l’atelier d’échange avec les parlementaires sur le programme prioritaire d’infrastructures routières au Sénégal et devant les Présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale.
Et il apporte ces explications : « les grandes lignes du diagnostic sont les suivantes : un réseau routier connaissant un déficit d’entretien de plusieurs années, un déficit de pistes rurales, une insuffisance de connectivité du Sénégal avec les pays voisins, de sérieuses réserves sur le respect des normes techniques dans la réalisation des routes et une inadéquation du cadre réglementaire du secteur ».
Et contrairement à cela, le ministre en charge des infrastructures, parle de 1200 milliards financés depuis 2000, par l’Etat et ses partenaires pour doter le Sénégal d’infrastructures routières dignes de ce nom. Et l’objectif final est de faire du pays, « un hub industriel et commercial compétitif en Afrique subsaharienne, en assurant une parfaite connectivité entre nos régions, nos départements, nos collectivités locales et nos voisins » précise Karim Wade.
Et il apporte ces explications : « les grandes lignes du diagnostic sont les suivantes : un réseau routier connaissant un déficit d’entretien de plusieurs années, un déficit de pistes rurales, une insuffisance de connectivité du Sénégal avec les pays voisins, de sérieuses réserves sur le respect des normes techniques dans la réalisation des routes et une inadéquation du cadre réglementaire du secteur ».
Et contrairement à cela, le ministre en charge des infrastructures, parle de 1200 milliards financés depuis 2000, par l’Etat et ses partenaires pour doter le Sénégal d’infrastructures routières dignes de ce nom. Et l’objectif final est de faire du pays, « un hub industriel et commercial compétitif en Afrique subsaharienne, en assurant une parfaite connectivité entre nos régions, nos départements, nos collectivités locales et nos voisins » précise Karim Wade.
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