Les structures de santé à Kédougou n’existent que de nom. La définition de la santé est malade à Kédougou. Elle ne sera jamais une réalité tant que les hautes autorités n’iront pas au-delà de leur promesse théorique comme le relèvement des plateaux technique et médicale, selon l’Association des élèves et étudiants ressortissants de la région de Kédougou (Aeerk), présidée par Karamokho Samoura, lors d'un point de presse, hier-mercredi à Dakar, rapporté par Wlafadjri.
Pis, révèlent les Kédovins, la région se retrouve sans anesthésistes. Cela, sans compter le bloc opératoire non opérationnel. S’y ajoute la fermeture du Centre de traitement des épidémies (CTE) en cette période fâcheuse de Covid19. Ces manquements contraignent les femmes Kédovines à se déplacer sur de longues distances vers les régions voisines pour accéder aux soins.
Tout cela pour dire, d’après eux que « Kédougou est un désert médical ». La frustration est telle que les jeunes dénoncent une discrimination. L’autre fait qui écœure les étudiants est l’accès à l’emploi des jeunes de la localité dans les entreprises minières qui pullulent la région. « ll est répugnant de constater que les étudiants sont traités comme des parents pauvres et ne sont pas recrutés au grand désavantage de leur famille », déplorent-ils. Ce qui fait qu’ils n’arrivent pas dès lors à assoir leur dignité au niveau des parents et proches. Les étudiants sont casés à Dakar mais ils payent la location. Cela depuis 2006.
Pis, révèlent les Kédovins, la région se retrouve sans anesthésistes. Cela, sans compter le bloc opératoire non opérationnel. S’y ajoute la fermeture du Centre de traitement des épidémies (CTE) en cette période fâcheuse de Covid19. Ces manquements contraignent les femmes Kédovines à se déplacer sur de longues distances vers les régions voisines pour accéder aux soins.
Tout cela pour dire, d’après eux que « Kédougou est un désert médical ». La frustration est telle que les jeunes dénoncent une discrimination. L’autre fait qui écœure les étudiants est l’accès à l’emploi des jeunes de la localité dans les entreprises minières qui pullulent la région. « ll est répugnant de constater que les étudiants sont traités comme des parents pauvres et ne sont pas recrutés au grand désavantage de leur famille », déplorent-ils. Ce qui fait qu’ils n’arrivent pas dès lors à assoir leur dignité au niveau des parents et proches. Les étudiants sont casés à Dakar mais ils payent la location. Cela depuis 2006.
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