
Le service kényan de la faune sauvage (KWS) a lancé une vaste opération pour retrouver deux lionnes qui se sont échappées du parc national de Nairobi et ont été vues pour la dernière fois dans un quartier densément peuplé.
Dans un communiqué diffusé vendredi, le KWS a lancé un appel « à l’aide pour retrouver les deux lionnes qui ont quitté le Parc national de Nairobi ».
« Les lions sont des animaux sauvages dangereux. Évitez de les provoquer en leur faisant face », a mis en garde le porte-parole du KWS, Paul Udoto.
Au moins deux lionnes seraient sorties jeudi soir de ce parc de 117 km2 où gazelles, rhinocéros et buffles cohabitent, à moins de 7km des gratte-ciel du centre-ville de la capitale kényane.
La partie nord du parc, qui donne sur la ville, est clôturée mais pas le sud, afin de permettre aux animaux, notamment les herbivores, de se déplacer pour trouver de nouveaux pâturages en fonction des périodes de l’année.
La pression immobilière et agricole sur les terres avoisinant le parc empiètent toutefois de plus en plus sur les routes traditionnelles de migration des herbivores, et par ricochet sur les déplacements des carnivores qui accompagnent leurs futures proies.
Selon le KWS, les deux lionnes ont été vues pour la dernière fois dans le quartier de Langata.
« Il s’agit de zones densément peuplées et c’est pourquoi nous intensifions nos recherches », a déclaré M. Udoto, appelant « quiconque ayant des informations à les partager avec nous immédiatement ».
« Nos équipes, qui incluent des vétérinaires », sont à pied d’oeuvre à Langata à la recherche des animaux », a-t-il ajouté.
Dans un communiqué diffusé vendredi, le KWS a lancé un appel « à l’aide pour retrouver les deux lionnes qui ont quitté le Parc national de Nairobi ».
« Les lions sont des animaux sauvages dangereux. Évitez de les provoquer en leur faisant face », a mis en garde le porte-parole du KWS, Paul Udoto.
Au moins deux lionnes seraient sorties jeudi soir de ce parc de 117 km2 où gazelles, rhinocéros et buffles cohabitent, à moins de 7km des gratte-ciel du centre-ville de la capitale kényane.
La partie nord du parc, qui donne sur la ville, est clôturée mais pas le sud, afin de permettre aux animaux, notamment les herbivores, de se déplacer pour trouver de nouveaux pâturages en fonction des périodes de l’année.
La pression immobilière et agricole sur les terres avoisinant le parc empiètent toutefois de plus en plus sur les routes traditionnelles de migration des herbivores, et par ricochet sur les déplacements des carnivores qui accompagnent leurs futures proies.
Selon le KWS, les deux lionnes ont été vues pour la dernière fois dans le quartier de Langata.
« Il s’agit de zones densément peuplées et c’est pourquoi nous intensifions nos recherches », a déclaré M. Udoto, appelant « quiconque ayant des informations à les partager avec nous immédiatement ».
« Nos équipes, qui incluent des vétérinaires », sont à pied d’oeuvre à Langata à la recherche des animaux », a-t-il ajouté.
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