Depuis l'attaque d'In Amenas, les autorités répètent que le sud du pays est en état d'alerte et que les frontières sont sécurisées.
Cela fait bientôt un an, depuis le début de la crise malienne, que des policiers et des soldats sont envoyés en renfort dans les régions frontalières du Mali, du Niger et de la Libye.
Pourtant, Alger est inquiète. La frontière lybienne a laissé passé le groupe de preneurs d'otages d'In Amenas, et si la frontière sud est officiellement fermée et que des avions de chasses algériens patrouillent depuis le début de l'intervention militaire française au Mali, le désert est très difficile à contrôler.
Dans la presse, on souligne que les terroristes peuvent très bien cacher leurs armes dans le désert avant de se mêler aux réfugiés qui franchissent facilement la frontière. Les autorités algériennes sont prêtes à collaborer avec d'autres pays pour renforcer la sécurité et surtout pour lutter contre le terrorisme.
Un accord de coopération a été conclu avec Londres hier et il concerne la sécurité aux frontières et dans les airs.
Cela fait bientôt un an, depuis le début de la crise malienne, que des policiers et des soldats sont envoyés en renfort dans les régions frontalières du Mali, du Niger et de la Libye.
Pourtant, Alger est inquiète. La frontière lybienne a laissé passé le groupe de preneurs d'otages d'In Amenas, et si la frontière sud est officiellement fermée et que des avions de chasses algériens patrouillent depuis le début de l'intervention militaire française au Mali, le désert est très difficile à contrôler.
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