Selon le Directeur général de l’OFEJBAN, M. Boubacar Bâ, ce protocole d’accord va permettre de prendre en charge les préoccupations des jeunes du Sénégal en général et ceux des jeunes de la banlieue en particulier.
Dans ses missions, le PMIA a une composante d’activité de crédit qui est la principale composante du projet mais au-delà de cette composante, il y a un programme de renforcement des capacités des acteurs, la contribution à la mise en œuvre des pôles d’émergence agricole. Ce qui va aider la structure dirigée par M. Bâ.
Abondant dans le même sens, le Directeur du Programme de modernisation et d’intensification agricole a estimé que les structures déjà en place permettent de s’engager. « Aujourd’hui, nous avons en face, pour booster cette activité stratégique, une structure chargée spécialement de l’emploi des jeunes. Ce qui est une excellente vision des autorités », a dit M. Alioune Fall.
En effet, le PMIA qui a un taux de remboursement de 6,8 %, est à sa deuxième phase, et a déjà permis le financement de près de 3 000 projet sur un montant de près de 6 milliards avec des taux de remboursement record qu’aucune autre ligne de refinancement n’a pu obtenir au Sénégal dans le domaine agricole et péri urbain. Ces taux selon le Directeur de PMIA, Alioune Fall, dépassent 90%.
«A l’OFEJBAN, nous avons compris cela et nous nous sommes engagés à mettre en place un réseau de mutuelles dénommée la MESEJEB (mutuelle d’épargne et de crédit des jeunes des banlieues). Ce, pour prendre en charge non seulement le financement mais aussi pour avoir un taux de remboursement à un seul chiffre », a souligné M. Bâ. A l’en croire, les taux de remboursement à deux chiffres tuent le financement l’engagement et la pérennisation de ces projets.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, rappelle M. Boubacar Bâ «lors du Conseil présidentiel du 5 novembre, le président avait déclaré qu’il était inacceptable que des structures de financement qui bénéficient du soutien de l’Etat du Sénégal et ses partenaires puissent avoir des taux de remboursement de 12 à 15 %".
A noter que le PMIA qui est un projet du ministère de l’Agriculture, a géré la ligne PAPEL, PADERBA et PMIA. Son directeur rappelle que la phase de consolidation a démarré depuis quelques mois. Et c’est dans ce cadre qu’il compte collaborer et de manière très rapprochée avec l’OFEJBAN.
Dans ses missions, le PMIA a une composante d’activité de crédit qui est la principale composante du projet mais au-delà de cette composante, il y a un programme de renforcement des capacités des acteurs, la contribution à la mise en œuvre des pôles d’émergence agricole. Ce qui va aider la structure dirigée par M. Bâ.
Abondant dans le même sens, le Directeur du Programme de modernisation et d’intensification agricole a estimé que les structures déjà en place permettent de s’engager. « Aujourd’hui, nous avons en face, pour booster cette activité stratégique, une structure chargée spécialement de l’emploi des jeunes. Ce qui est une excellente vision des autorités », a dit M. Alioune Fall.
En effet, le PMIA qui a un taux de remboursement de 6,8 %, est à sa deuxième phase, et a déjà permis le financement de près de 3 000 projet sur un montant de près de 6 milliards avec des taux de remboursement record qu’aucune autre ligne de refinancement n’a pu obtenir au Sénégal dans le domaine agricole et péri urbain. Ces taux selon le Directeur de PMIA, Alioune Fall, dépassent 90%.
«A l’OFEJBAN, nous avons compris cela et nous nous sommes engagés à mettre en place un réseau de mutuelles dénommée la MESEJEB (mutuelle d’épargne et de crédit des jeunes des banlieues). Ce, pour prendre en charge non seulement le financement mais aussi pour avoir un taux de remboursement à un seul chiffre », a souligné M. Bâ. A l’en croire, les taux de remboursement à deux chiffres tuent le financement l’engagement et la pérennisation de ces projets.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, rappelle M. Boubacar Bâ «lors du Conseil présidentiel du 5 novembre, le président avait déclaré qu’il était inacceptable que des structures de financement qui bénéficient du soutien de l’Etat du Sénégal et ses partenaires puissent avoir des taux de remboursement de 12 à 15 %".
A noter que le PMIA qui est un projet du ministère de l’Agriculture, a géré la ligne PAPEL, PADERBA et PMIA. Son directeur rappelle que la phase de consolidation a démarré depuis quelques mois. Et c’est dans ce cadre qu’il compte collaborer et de manière très rapprochée avec l’OFEJBAN.
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