Washington va verser 150 millions de dollars au Niger, au Mali, à la Mauritanie et au Burkina Faso. Objectif : venir en aide aux quelque 2,5 millions de personnes déplacées à cause de l'insécurité dans ces zones troublées par des groupes terroristes.
Sur le plan militaire, il y a quelques mois, le chef d'état-major américain du Commandement des États-Unis pour l'Afrique (Africom) avait annoncé que les États-Unis comptaient réduire sensiblement leurs effectifs sur le terrain. Malgré ces annonces, l'engagement américain reste intact, assure Marissa Scott-Torres, la porte-parole Afrique du département d'État américain.
« Nous avons adopté une approche différente et nous avons obtenu des résultats différents, affirme-t-elle. Par exemple, les responsables africains ont loué la réussite des raids menés par la France en juin qui a tué un des principaux commandants d’al-Qaïda, Abdelmalek Droukdel. Les renseignements collectés par les États-Unis avaient contribué à faciliter la mission qui ciblait le chef d’al-Qaïda au Maghreb. Les États-Unis fournissent actuellement des renseignements, des éléments logistiques, des formations, etc. en Afrique de l’Ouest. Donc, même s’il y a une réduction de personnes, de militaires, il n’y a pas de réduction de notre engagement au Sahel. »
Sur le plan militaire, il y a quelques mois, le chef d'état-major américain du Commandement des États-Unis pour l'Afrique (Africom) avait annoncé que les États-Unis comptaient réduire sensiblement leurs effectifs sur le terrain. Malgré ces annonces, l'engagement américain reste intact, assure Marissa Scott-Torres, la porte-parole Afrique du département d'État américain.
« Nous avons adopté une approche différente et nous avons obtenu des résultats différents, affirme-t-elle. Par exemple, les responsables africains ont loué la réussite des raids menés par la France en juin qui a tué un des principaux commandants d’al-Qaïda, Abdelmalek Droukdel. Les renseignements collectés par les États-Unis avaient contribué à faciliter la mission qui ciblait le chef d’al-Qaïda au Maghreb. Les États-Unis fournissent actuellement des renseignements, des éléments logistiques, des formations, etc. en Afrique de l’Ouest. Donc, même s’il y a une réduction de personnes, de militaires, il n’y a pas de réduction de notre engagement au Sahel. »
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