Pour les organisations de la société civile, ce fut plutôt un rendez-vous manqué malgré la présence effective du président Macky Sall. « Pour des raisons que nous cherchons encore à comprendre, les OSC et les collectivités locales n’ont pas eu droit à la parole, bien que figurant sur l’agenda de la rencontre, précisément après les PTF (Partenaires techniques et financiers) », dénonce Amacodou Diouf.
D’après la société civile, les objectifs du 12e CPI, tels que déclinés officiellement étaient de « faire le point sur les réformes engagées et de formuler des orientations pour l’exécution d’une nouvelle génération de réformes renforçant l’attractivité du Sénégal aux investissements privés, afin de garantir la réalisation, dans les échéances fixées, des projets novateurs du Plan Sénégal émergent (PSE) », ce qui n’a pas été le cas lors de cette rencontre, soutient M.Diouf.
Selon le CONGAD, les Institutions de l’Etat doivent faire preuve d’une culture d’inclusion et considérer que les acteurs de la « nouvelle économie » comprennent la société civile et les élus locaux. « Il est stratégique et utile de disposer d’une culture d’inclusion dans la gestion des affaires publiques et de rompre avec le schéma classique de pensée et de conduite des affaires », juge M.Diouf.
Le Conseil Présidentiel sur l’Investissement doit être un cadre d’échanges stratégiques sur les questions relatives à l’économie (investissements et gouvernance du financement du développement) et non pas un récital de chapelets de problèmes isolés d’entreprises, estime Amacodou Diouf.
D’après la société civile, les objectifs du 12e CPI, tels que déclinés officiellement étaient de « faire le point sur les réformes engagées et de formuler des orientations pour l’exécution d’une nouvelle génération de réformes renforçant l’attractivité du Sénégal aux investissements privés, afin de garantir la réalisation, dans les échéances fixées, des projets novateurs du Plan Sénégal émergent (PSE) », ce qui n’a pas été le cas lors de cette rencontre, soutient M.Diouf.
Selon le CONGAD, les Institutions de l’Etat doivent faire preuve d’une culture d’inclusion et considérer que les acteurs de la « nouvelle économie » comprennent la société civile et les élus locaux. « Il est stratégique et utile de disposer d’une culture d’inclusion dans la gestion des affaires publiques et de rompre avec le schéma classique de pensée et de conduite des affaires », juge M.Diouf.
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