Le béret vert vissé sur la tête, le général Therry Burkhard est dans la forêt classée de la Mandah au Nord de Libreville. Il met les pieds dans le centre de formation de combat en forêt tropicale où l’armée française forme actuellement des commandos de 5 pays d’Afrique centrale.
Parmi eux Yarafa Chadrak, 20 ans, sous-lieutenant des forces armées centrafricaines. « C’était une formation formidable. Je n’ai jamais fait de zones équatoriennes donc ça fait du bien. Et surtout avec eux, c’était plus rapide et plus simple. »
Libreville abritant l'une des 4 bases militaires françaises en Afrique, c'était donc évident pour le général Burkhard d'échanger avec les soldats français du Gabon.
La politique était aussi au cœur de cette visite. Le chef d’Etat-major des armées françaises a été reçu par le président gabonais Ali Bongo. Les deux hommes ont revisité leur coopération bilatérale. « Ce que j’ai constaté, c’est qu’il y a une relation très très forte, construite sur une longue histoire, une relation qui s’étale dans le temps, une vraie fraternité d’arme. Donc, je pense que c’est normal que je vienne ici. »
Les relations entre les deux pays ont connu un coup de froid depuis quelques années en raison de plusieurs affaires notamment celles des biens mal acquis. François Hollande et Emmanuel Macron sont les deux dirigeants de la Ve république française qui n’ont pas effectué de visite officielle au Gabon.
Parmi eux Yarafa Chadrak, 20 ans, sous-lieutenant des forces armées centrafricaines. « C’était une formation formidable. Je n’ai jamais fait de zones équatoriennes donc ça fait du bien. Et surtout avec eux, c’était plus rapide et plus simple. »
Libreville abritant l'une des 4 bases militaires françaises en Afrique, c'était donc évident pour le général Burkhard d'échanger avec les soldats français du Gabon.
La politique était aussi au cœur de cette visite. Le chef d’Etat-major des armées françaises a été reçu par le président gabonais Ali Bongo. Les deux hommes ont revisité leur coopération bilatérale. « Ce que j’ai constaté, c’est qu’il y a une relation très très forte, construite sur une longue histoire, une relation qui s’étale dans le temps, une vraie fraternité d’arme. Donc, je pense que c’est normal que je vienne ici. »
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