Tout juste investi président du Paraguay, Federico Franco doit faire face à une salve de critiques internationales. Avec un risque : se retrouver à la tête d’un pays isolé sur la scène continentale, un pays qui pourrait même être exclu des institutions régionales comme l’UNASUR, l’Union des nations sud-américaines, ou bien le Mercosur, le Marché Commun du Sud.
Une situation qui rendrait difficilement viable le maintien au pouvoir de l’ancien vice-président. Ce dernier a donc lancé une opération séduction. D’abord en tentant de convaincre de la légalité de la procédure : « Ici il n’y a pas eu de coup d’État mais un changement à la tête du pays conforme à la Constitution », a par exemple déclaré Federico Franco.
Ensuite, le tout nouveau président compte sur le travail diplomatique de ses ambassadeurs pour, dit-il, « faire comprendre à l’extérieur la réalité du Paraguay ».
Franco a enfin souligné que sa priorité était de « mettre de l’ordre » à l’intérieur du pays où il compte sur l’appui du parlement, de l’église catholique et également des milieux d’affaires.
L’Union Industrielle Paraguayenne a ainsi estimé qu’avec Franco, « le pays serait mieux organisé et qu’il y aurait plus de confiance de la part des investisseurs ». Reste à savoir si ces soutiens internes suffiront à résister aux pressions internationales.
RFI
Une situation qui rendrait difficilement viable le maintien au pouvoir de l’ancien vice-président. Ce dernier a donc lancé une opération séduction. D’abord en tentant de convaincre de la légalité de la procédure : « Ici il n’y a pas eu de coup d’État mais un changement à la tête du pays conforme à la Constitution », a par exemple déclaré Federico Franco.
Ensuite, le tout nouveau président compte sur le travail diplomatique de ses ambassadeurs pour, dit-il, « faire comprendre à l’extérieur la réalité du Paraguay ».
Franco a enfin souligné que sa priorité était de « mettre de l’ordre » à l’intérieur du pays où il compte sur l’appui du parlement, de l’église catholique et également des milieux d’affaires.
L’Union Industrielle Paraguayenne a ainsi estimé qu’avec Franco, « le pays serait mieux organisé et qu’il y aurait plus de confiance de la part des investisseurs ». Reste à savoir si ces soutiens internes suffiront à résister aux pressions internationales.
RFI
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