AIDA MBODJ (PDS)
«Il y a énormément de questions qui ont été soulevées et qui n’ont pas encore de réponses. Surtout en ce qui concerne la nébuleuse qui entoure l’affaire de la Suneor. On a interpelé le Premier ministre sur les modalités qui conditionnaient l’accompagnement du PSE (Plan Sénégal Emergent), mais là aussi nous sommes restés sur notre faim».
THIERNO BOCOUM (NON-INSCRIT)
«Il s’est agi d’aménager simplement une tribune au gouvernement. Il n’y a pas de réponses nouvelles. Ce passage pouvait ne pas avoir lieu puisque la majorité des parlementaires n’avait pas droit à la parole».
ABDOULAYE THIAM (PDS)
«Ce qui s’est passé aujourd’hui à l’assemblée constitue une grande satisfaction. Il faut rappeler simplement que c’est Doudou Wade qui en 2006 avait fait cette proposition de loi permettant ainsi de modifier l’article 92 du règlement intérieur de l’Assemblée. Et c’est cet article qui nous a valu la présence du Gouvernement».
OUMAR YOUM (porte-parole du gouvernement(BBY)
«Cette séance a permis à beaucoup de Sénégalais de partager leur avis avec le gouvernement sur les questions d’actualité. C’est une nouvelle page de notre avancée démocratique qui vient de s’ouvrir, d’autant plus qu’elle s’ouvre dans un climat de sérénité, de responsabilité. Avec les questions qui ont été posées au gouvernement et les réponses qui ont été apportées. Nous espérons simplement que ce climat se pérennise pour que vive notre démocratie dans sa vitalité qui est reconnue par la communauté nationale et internationale.
ABDOULAYE DIOUF SARR (BBY)
Notre démocratie est en marche et je pense que même les grandes démocraties n’ont pas encore atteint ce niveau de transparence et nous croyons qu’aujourd’hui que le peuple a vu les rapports qu’il y a entre le législatif et l’exécutif.
IMAM MBAYE NIANG (BBY)
«Je voudrai simplement dire que c’est un grand jour aujourd’hui pour l’Assemblée nationale de voir le gouvernement conduit par le Premier ministre. Cette action s’est réalisée aujourd’hui grace à une entente entre le gouvernement et l’Assemblée nationale. Cette séance a permis de suivre presque à temps réel les activités du gouvernement. Ça lui permet aussi d’exercer son role de control et donc d’informer les populations».
Me DJIBRIL WAR (BBY).
«Nous venons de sacrifier à une procédure prévue par la Constitution. Et à travers ses règlements intérieurs, article 92 qui prévoit le passage du gouvernement à l’Assemblée nationale, cadre attestant de l’avancée démocratique. Et c’est une première dans l’histoire du Sénégal, bien que la Constitution ait prévu depuis les indépendances. Toutes les questions qui font aujourd’hui l’actualité ont été évoquées à l’assemblée. Et les questions ont fait l’objet de réponses appropriées».
«Il y a énormément de questions qui ont été soulevées et qui n’ont pas encore de réponses. Surtout en ce qui concerne la nébuleuse qui entoure l’affaire de la Suneor. On a interpelé le Premier ministre sur les modalités qui conditionnaient l’accompagnement du PSE (Plan Sénégal Emergent), mais là aussi nous sommes restés sur notre faim».
THIERNO BOCOUM (NON-INSCRIT)
«Il s’est agi d’aménager simplement une tribune au gouvernement. Il n’y a pas de réponses nouvelles. Ce passage pouvait ne pas avoir lieu puisque la majorité des parlementaires n’avait pas droit à la parole».
ABDOULAYE THIAM (PDS)
«Ce qui s’est passé aujourd’hui à l’assemblée constitue une grande satisfaction. Il faut rappeler simplement que c’est Doudou Wade qui en 2006 avait fait cette proposition de loi permettant ainsi de modifier l’article 92 du règlement intérieur de l’Assemblée. Et c’est cet article qui nous a valu la présence du Gouvernement».
OUMAR YOUM (porte-parole du gouvernement(BBY)
«Cette séance a permis à beaucoup de Sénégalais de partager leur avis avec le gouvernement sur les questions d’actualité. C’est une nouvelle page de notre avancée démocratique qui vient de s’ouvrir, d’autant plus qu’elle s’ouvre dans un climat de sérénité, de responsabilité. Avec les questions qui ont été posées au gouvernement et les réponses qui ont été apportées. Nous espérons simplement que ce climat se pérennise pour que vive notre démocratie dans sa vitalité qui est reconnue par la communauté nationale et internationale.
ABDOULAYE DIOUF SARR (BBY)
Notre démocratie est en marche et je pense que même les grandes démocraties n’ont pas encore atteint ce niveau de transparence et nous croyons qu’aujourd’hui que le peuple a vu les rapports qu’il y a entre le législatif et l’exécutif.
IMAM MBAYE NIANG (BBY)
«Je voudrai simplement dire que c’est un grand jour aujourd’hui pour l’Assemblée nationale de voir le gouvernement conduit par le Premier ministre. Cette action s’est réalisée aujourd’hui grace à une entente entre le gouvernement et l’Assemblée nationale. Cette séance a permis de suivre presque à temps réel les activités du gouvernement. Ça lui permet aussi d’exercer son role de control et donc d’informer les populations».
Me DJIBRIL WAR (BBY).
«Nous venons de sacrifier à une procédure prévue par la Constitution. Et à travers ses règlements intérieurs, article 92 qui prévoit le passage du gouvernement à l’Assemblée nationale, cadre attestant de l’avancée démocratique. Et c’est une première dans l’histoire du Sénégal, bien que la Constitution ait prévu depuis les indépendances. Toutes les questions qui font aujourd’hui l’actualité ont été évoquées à l’assemblée. Et les questions ont fait l’objet de réponses appropriées».
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