Les habitants de Dakar vont, certainement, manquer de pain la semaine prochaine. Les boulangers ont annoncé la couleur ce week-end en menaçant de mettre à exécution leurs menaces de fermer leurs fabriques.
A travers cette mesure, fédération nationale des boulangers du Sénégal (FNBS) entend contrer l’arrêté du ministre du Commerce, amadou Niang, fixant les prix plafond à cents (100) francs CFA pour le pain de 120 grammes et cent cinquante (150) francs CFA pour celui de 180 grammes dans la capitale sénégalaise.
Mais malgré cette menace, les boulangers comptent poursuivre les négociations. «Nous allons continuer les négociations», a assuré Amadou Gaye qui estime néanmoins que toute chose à sa limite. «Dans une semaine, si l’Etat ne règle pas le problème, nous allons arrêter la production du pain », a-t-il menacé. Les boulangers ont été unanimes dans le rejet de l’arrêté ministériel. «Nous sommes tous tombés d’accords sur le fait que les deux formats imposés par les autorités ne nous agréent pas», a souligné le secrétaire général de la fédération nationale des boulangers du Sénégal (FNBS), El Malick Niang.
A travers cette mesure, fédération nationale des boulangers du Sénégal (FNBS) entend contrer l’arrêté du ministre du Commerce, amadou Niang, fixant les prix plafond à cents (100) francs CFA pour le pain de 120 grammes et cent cinquante (150) francs CFA pour celui de 180 grammes dans la capitale sénégalaise.
Mais malgré cette menace, les boulangers comptent poursuivre les négociations. «Nous allons continuer les négociations», a assuré Amadou Gaye qui estime néanmoins que toute chose à sa limite. «Dans une semaine, si l’Etat ne règle pas le problème, nous allons arrêter la production du pain », a-t-il menacé. Les boulangers ont été unanimes dans le rejet de l’arrêté ministériel. «Nous sommes tous tombés d’accords sur le fait que les deux formats imposés par les autorités ne nous agréent pas», a souligné le secrétaire général de la fédération nationale des boulangers du Sénégal (FNBS), El Malick Niang.
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