Selon le point mensuel de conjoncture, les ressources, estimées à 609 milliards, ont enregistré une progression de 43,9 milliards (+7,8%), tandis que les dépenses totales et prêts nets, se sont accrus de 130,7 milliards (+18,1%) pour s’établir à 852,7 milliards. En conséquence, le déficit budgétaire est estimé à 243,7 milliards.
Des ressources constituées des recettes budgétaires pour 554,2 milliards, des dons évalués à 45 milliards et des ressources FSE pour 9,8 milliards. L’augmentation des ressources est imputable aux recettes fiscales (540,1 milliards) inscrites en hausse de 9,6% à la faveur de l’accroissement des impôts directs, notamment l’IR et l’IS, de la TVA ainsi que des recettes sur le pétrole. En effet, l’impôt sur le revenu (104,4 milliards) et l’impôt sur les sociétés (56,1 milliards) se sont raffermis respectivement de 15,4% et 5,3%.
Pour ce qui est des taxes intérieures, la TVA hors pé- trole s’est améliorée de 10,6%, passant de 72,5 milliards à 80,2 milliards. Il en est de même pour les recettes pétrolières, notamment le FSIPP (48,4 milliards) et la taxe spécifique (22,1 milliards) qui ont augmenté respectivement de 28,1 et 4,4 milliards.
En revanche, certaines lignes de recettes ont enregistré des baisses, il s’agit notamment des droits de porte (59,2 milliards) et des «droits d’enregistrement et de timbre» qui ont affiché des re- plis respectifs de 5,3 milliards (- 8,2%) et 0,9 milliard (-4,3%). Quant aux dons et aux ressources FSE à fin avril 2016, ils ont diminué respectivement de 5,3% et 17% comparativement à la même période en 2015. Les dépenses to- tales et prêts nets sont estimés à 852,7 milliards à fin avril 2016 contre 722 milliards un an auparavant, soit une progression de 130,7 milliards (+18,1%). Cette accélération résulte de la hausse de 15,3 % des investissements, combinée au relèvement de 20,1% des dépenses courantes.
Ainsi, concernant les dépenses en capital, les investissements financés sur ressources internes se sont confortés de 21,1 milliards (+11%) pour s’établir à 213,6 milliards tandis que ceux sur ressources extérieures, évalués à 126,1 milliards, se sont inscrits en hausse de 23,8 milliards (+23,3%). Quant aux dépenses courantes, la progression est portée, essentiellement, par les autres dépenses courantes, les intérêts sur la dette publique et la masse salariale qui ont respectivement progressé de 35,8%, 18,4% et 2,5% pour s’établir à 277,4 milliards, 52,2 milliards et 183,4 milliards.
S’agissant de la dette, les charges d’intérêt se répartissent sur les composantes intérieure et extérieure pour respectivement 15,7 milliards et 36,5 milliards.
Des ressources constituées des recettes budgétaires pour 554,2 milliards, des dons évalués à 45 milliards et des ressources FSE pour 9,8 milliards. L’augmentation des ressources est imputable aux recettes fiscales (540,1 milliards) inscrites en hausse de 9,6% à la faveur de l’accroissement des impôts directs, notamment l’IR et l’IS, de la TVA ainsi que des recettes sur le pétrole. En effet, l’impôt sur le revenu (104,4 milliards) et l’impôt sur les sociétés (56,1 milliards) se sont raffermis respectivement de 15,4% et 5,3%.
Pour ce qui est des taxes intérieures, la TVA hors pé- trole s’est améliorée de 10,6%, passant de 72,5 milliards à 80,2 milliards. Il en est de même pour les recettes pétrolières, notamment le FSIPP (48,4 milliards) et la taxe spécifique (22,1 milliards) qui ont augmenté respectivement de 28,1 et 4,4 milliards.
En revanche, certaines lignes de recettes ont enregistré des baisses, il s’agit notamment des droits de porte (59,2 milliards) et des «droits d’enregistrement et de timbre» qui ont affiché des re- plis respectifs de 5,3 milliards (- 8,2%) et 0,9 milliard (-4,3%). Quant aux dons et aux ressources FSE à fin avril 2016, ils ont diminué respectivement de 5,3% et 17% comparativement à la même période en 2015. Les dépenses to- tales et prêts nets sont estimés à 852,7 milliards à fin avril 2016 contre 722 milliards un an auparavant, soit une progression de 130,7 milliards (+18,1%). Cette accélération résulte de la hausse de 15,3 % des investissements, combinée au relèvement de 20,1% des dépenses courantes.
Ainsi, concernant les dépenses en capital, les investissements financés sur ressources internes se sont confortés de 21,1 milliards (+11%) pour s’établir à 213,6 milliards tandis que ceux sur ressources extérieures, évalués à 126,1 milliards, se sont inscrits en hausse de 23,8 milliards (+23,3%). Quant aux dépenses courantes, la progression est portée, essentiellement, par les autres dépenses courantes, les intérêts sur la dette publique et la masse salariale qui ont respectivement progressé de 35,8%, 18,4% et 2,5% pour s’établir à 277,4 milliards, 52,2 milliards et 183,4 milliards.
S’agissant de la dette, les charges d’intérêt se répartissent sur les composantes intérieure et extérieure pour respectivement 15,7 milliards et 36,5 milliards.
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