Selon les médias libanais, plus de 110 personnes ont été blessées samedi lors de la manifestation contre le pouvoir organisée dans le centre-ville de Beyrouth et un policier a été tué. Dans la soirée, le Premier ministre libanais, Hassan Diab, a annoncé qu'il allait proposer des élections parlementaires anticipées.
Après les explosions au port de Beyrouth, la colère gronde au Liban. De violents incidents sont survenus, samedi 8 août, lors d'une manifestation contre la classe politique rendue responsable par les Libanais de la terrible explosion qui a fait plus de 150 morts.
Des coups de feu ont été entendus sur les lieux de la manifestation en fin d'après-midi. La police a confirmé à l'agence Reuters que des balles avaient été tirées. Les images retransmises en direct par des télévisions libanaises ont montré plusieurs personnes visiblement touchées par des balles en caoutchouc. Les médias locaux citant la Croix-Rouge libanaise dénombre au moins 110 blessés durant la manifestation, dont 32 hospitalisés. Un policier a été tué, a annoncé la police libanaise sur Twitter.
"Un membre des Forces de sécurité intérieure est décédé (...) en aidant des personnes coincées dans l'hôtel Le Gray", a précisé cette source, ajoutant sans autre détail qu'il avait "été agressé par un certain nombre d'émeutiers qui ont entraîné sa chute et sa mort".
Plus tôt dans l'après-midi, à proximité de la place des Martyrs, épicentre des manifestations dans la capitale, les forces de sécurité, avaient tiré des gaz lacrymogènes, à de jeunes protestataires ripostant avec des pierres.
Après les explosions au port de Beyrouth, la colère gronde au Liban. De violents incidents sont survenus, samedi 8 août, lors d'une manifestation contre la classe politique rendue responsable par les Libanais de la terrible explosion qui a fait plus de 150 morts.
Des coups de feu ont été entendus sur les lieux de la manifestation en fin d'après-midi. La police a confirmé à l'agence Reuters que des balles avaient été tirées. Les images retransmises en direct par des télévisions libanaises ont montré plusieurs personnes visiblement touchées par des balles en caoutchouc. Les médias locaux citant la Croix-Rouge libanaise dénombre au moins 110 blessés durant la manifestation, dont 32 hospitalisés. Un policier a été tué, a annoncé la police libanaise sur Twitter.
"Un membre des Forces de sécurité intérieure est décédé (...) en aidant des personnes coincées dans l'hôtel Le Gray", a précisé cette source, ajoutant sans autre détail qu'il avait "été agressé par un certain nombre d'émeutiers qui ont entraîné sa chute et sa mort".
Plus tôt dans l'après-midi, à proximité de la place des Martyrs, épicentre des manifestations dans la capitale, les forces de sécurité, avaient tiré des gaz lacrymogènes, à de jeunes protestataires ripostant avec des pierres.
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