«Les deux projets de lois réformant la constitution et le code électoral sont arrivés sur le bureau du président de l’Assemblée nationale», a déclaré le président de l’Assemblée nationale après le Message à la Nation du chef de l’Etat.
Moustapha Niasse de poursuivre : «comme le prévoit le règlement intérieur de l’Assemblée nationale, les textes ont été distribués à tous les députés sans exception». Et, «La Constitution du Sénégal prévoit un délai de lecture de 10 jours d’une loi qui arrive sous forme de projet à l’Assemblée nationale, et que le président de la République n’en a pas demandé le traitement par la voie de l’urgence», indique-t-il dans des propos rapportés par APS.
Le président Niasse d’ajouter : «ce délai expire le 7 avril et après cette date le bureau de l’Assemblée sera convoqué et immédiatement la conférence des présidents devra programmer le traitement selon les étapes de la procédure prévue par la loi organique qui détermine le fonctionnement de l’Assemblée nationale».
A l’en croire, «au terme de cette procédure, ils (projets de loi) seront présentés avec un rapport en présence du gouvernement et une discussion démocratique sera ouverte et le projet de loi sera voté si la majorité des députés estiment qu’ils doivent voter pour son adoption».
Selon lui, ce projet était en train de germer depuis déjà quelques mois afin de «faciliter le déroulement de tout scrutin au Sénégal plus précisément en ce qui concerne la prochaine présidentielle, les leçons ont été tirées des 47 listes de candidats et coalitions de partis pour les législatives de 2017».
Car, martèle-t-il, «pour réduire le nombre de candidatures sans crédibilité, sans fondement, ni idéologie, ni morale, il a été estimé comme cela se fait ailleurs, un système de parrainage qui n’est pas nouveau puisqu’il existait pour les candidatures indépendantes».
Le Secrétaire général de l’Alliance des forces de progrès (Afp) d’expliquer que «le code électoral actuel a prévu un système de parrainage qui est entré en vigueur et est appliqué. Du parrainage à partir des élus exigés à un certain niveau au plan numérique pour qu’un candidat indépendant puisse faire valider sa candidature au niveau du conseil constitutionnel. Il est proposé que le Sénégal passe au parrainage citoyen qui est plus simple et plus démocratique que le premier. Pour éviter les candidatures fantaisistes. Il existe dans le monde moderne depuis 1962».
Moustapha Niasse de poursuivre : «comme le prévoit le règlement intérieur de l’Assemblée nationale, les textes ont été distribués à tous les députés sans exception». Et, «La Constitution du Sénégal prévoit un délai de lecture de 10 jours d’une loi qui arrive sous forme de projet à l’Assemblée nationale, et que le président de la République n’en a pas demandé le traitement par la voie de l’urgence», indique-t-il dans des propos rapportés par APS.
Le président Niasse d’ajouter : «ce délai expire le 7 avril et après cette date le bureau de l’Assemblée sera convoqué et immédiatement la conférence des présidents devra programmer le traitement selon les étapes de la procédure prévue par la loi organique qui détermine le fonctionnement de l’Assemblée nationale».
A l’en croire, «au terme de cette procédure, ils (projets de loi) seront présentés avec un rapport en présence du gouvernement et une discussion démocratique sera ouverte et le projet de loi sera voté si la majorité des députés estiment qu’ils doivent voter pour son adoption».
Selon lui, ce projet était en train de germer depuis déjà quelques mois afin de «faciliter le déroulement de tout scrutin au Sénégal plus précisément en ce qui concerne la prochaine présidentielle, les leçons ont été tirées des 47 listes de candidats et coalitions de partis pour les législatives de 2017».
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