Un homme, identifié par la foule comme un manifestant d’extrême droite, a été transporté en lieu sûr par un manifestant du mouvement Black Lives Matter, samedi 13 juin, lors d’une journée de manifestations et d’affrontements à Londres entre la police et des groupes rivaux, rapporte Reuters UK.
Des clichés d’un photographe de l’agence de presse montrent un homme blanc se tenant la tête, tandis qu’un homme noir le porte sur ses épaules, au milieu de policiers anti-émeute.
Cet homme blanc s’était retrouvé sur les marches menant au Royal Festival Hall, dans le centre de la capitale anglaise, et avait été sévèrement battu avant que d’autres manifestants n’interviennent pour le protéger, ont constaté des journalistes de Reuters présents sur place.
Des interdictions de rassemblement défiées
Dans la journée, des affrontements avaient éclaté dans le centre entre la police et des manifestants liés à l’extrême droite affirmant vouloir “protéger” des monuments d’actes de vandalisme de la part de militants anti-racisme.
Des milliers de manifestants, parmi lesquels des militants d’extrême droite, avaient défié les interdictions de rassemblement liées à la pandémie de nouveau coronavirus pour se retrouver près du Parlement où la statue de l’ex-Premier ministre Winston Churchill avait été dégradée en marge de manifestations contre le racisme le week-end dernier.
Des clichés d’un photographe de l’agence de presse montrent un homme blanc se tenant la tête, tandis qu’un homme noir le porte sur ses épaules, au milieu de policiers anti-émeute.
Cet homme blanc s’était retrouvé sur les marches menant au Royal Festival Hall, dans le centre de la capitale anglaise, et avait été sévèrement battu avant que d’autres manifestants n’interviennent pour le protéger, ont constaté des journalistes de Reuters présents sur place.
Des interdictions de rassemblement défiées
Dans la journée, des affrontements avaient éclaté dans le centre entre la police et des manifestants liés à l’extrême droite affirmant vouloir “protéger” des monuments d’actes de vandalisme de la part de militants anti-racisme.
Des milliers de manifestants, parmi lesquels des militants d’extrême droite, avaient défié les interdictions de rassemblement liées à la pandémie de nouveau coronavirus pour se retrouver près du Parlement où la statue de l’ex-Premier ministre Winston Churchill avait été dégradée en marge de manifestations contre le racisme le week-end dernier.
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