![Lutte-Accès payant aux médias: L’ANPS manifeste son désaccord et appelle à une concertation Lutte-Accès payant aux médias: L’ANPS manifeste son désaccord et appelle à une concertation](https://www.pressafrik.com/photo/art/default/3205001-4585728.jpg?v=1313662111)
L’Association Nationale de la Presse Sportive (ANPS) n’est pas d’accord avec la volonté du Comité Nation de Gestion (CNG) de lutte de faire payer les médias pour la couverture des combats. Selon le Président de l’ANPS, Mamadou Koumé, interrogé par la radio Sud Fm, ce serait une première, si la volonté se confirme. Parce que, nulle part dans le monde, un journaliste ne paie pour couvrir un évènement.
Maintenant, explique-t-il, « il y a la télévision qui est une donnée à part. Elle occupe une place centrale dans le sport. Quand tu dis télévision, tu dis spectacle sportif. Il y a des droits. Effectivement si quelqu’un est propriétaire des droits, il a des droits pour dire voilà c’est comme ça que les images sont données, cela existe et il a beaucoup d’autres garanties parce qu’il a payé».
Le Président de l’ANPS est d’avis que «les médias traditionnelle c'est-à-dire la radio, la presse écrite et les photographes, mais dans tous les pays du monde ils vont couvrir et ils ne paient pas. Cela on ne le voit dans aucun pays». Pour lui, il y a des dispositions à prendre. Il faudra convenir, je pense, dans le cadre d’une convention discuter entre pouvoir public, CNG, promoteur et association ou syndicat de journaliste pour dire voilà comment se passe la couverture, quelles sont les dispositions.
Maintenant, explique-t-il, « il y a la télévision qui est une donnée à part. Elle occupe une place centrale dans le sport. Quand tu dis télévision, tu dis spectacle sportif. Il y a des droits. Effectivement si quelqu’un est propriétaire des droits, il a des droits pour dire voilà c’est comme ça que les images sont données, cela existe et il a beaucoup d’autres garanties parce qu’il a payé».
Le Président de l’ANPS est d’avis que «les médias traditionnelle c'est-à-dire la radio, la presse écrite et les photographes, mais dans tous les pays du monde ils vont couvrir et ils ne paient pas. Cela on ne le voit dans aucun pays». Pour lui, il y a des dispositions à prendre. Il faudra convenir, je pense, dans le cadre d’une convention discuter entre pouvoir public, CNG, promoteur et association ou syndicat de journaliste pour dire voilà comment se passe la couverture, quelles sont les dispositions.
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