Dans son adresse à la nation, le président IBK accuse les rebelles touaregs d’avoir violé le cessez-le-feu et donc les accords signés à Ouagadougou. « Les rebelles touaregs se sont à nouveau coalisés avec les mouvements jihadistes », estime le chef d’État malien qui laisse entendre au passage que si tous ces groupes armés ont une si grande liberté d’action sur le terrain, c’est aussi parce que les forces internationales présentes au Mali ne font pas tout ce qu’elles devraient faire.
IKB, vêtu d’une tenue traditionnelle et portant sur la tête un bonnet blanc, a par ailleurs rendu hommage aux serviteurs de l’État malien tués au combat ou froidement assassiné à Kidal. Avant de prévenir : « ce crime odieux ne restera pas impuni ». Et comme pour justifier l’arrivée à Kidal d’un important renfort de troupes, le président a affirmé lors de son intervention que l’armée malienne accomplira sa mission sur tout le territoire national.
Mais le chef d’État malien n’est pas que dans une logique de guerre ; il est prêt à retourner à la table des négociations et invite toutes les parties à respecter leurs engagements.
Source : Rfi.fr
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