Premier point : « l’incapacité » du gouvernement de Transition d'« organiser des élections marquant la fin de la Transition » et de « produire un calendrier électoral ». Une « impasse », selon le Parena, dans la restauration de l’ordre constitutionnel, alors que les autorités de transition ont clairement exprimé leur volonté de repousser la date du 27 février initialement prévue et de fixer la nouvelle échéance au cours des Assises nationales de la refondation, qui s’achèveront fin décembre.
Des Assises que le Parena appelle une nouvelle fois, comme d’autres partis, à annuler, compte tenu notamment de leur coût et du facteur de division qu’elle peuvent représenter, notamment sur des sujets sensibles comme la relecture de l’accord de paix de 2015.
« L'isolement diplomatique du Mali »
Le parti du bélier estime également que « le pays court le risque d’un nouvel effondrement » en raison de la grave dégradation de la situation sécuritaire. La présence jihadiste n’est pas nouvelle dans le pays, mais son extension ainsi que l’amplification de la sous-administration du territoire – dans le nord et le centre du pays notamment – signent, selon le Parena, « l’échec du gouvernement de Transition ».
Sont enfin dénoncés « l’isolement diplomatique sans précédent du Mali » - une référence aux crises ouvertes avec la France ou la Cédéao - ainsi que « l’instauration d’un climat d’intolérance et d’atteinte aux libertés démocratiques fondamentales ». L’incarcération d’Issa Kaou N’Djim, vice-président du CNT, en est présentée comme la dernière illustration.
Des Assises que le Parena appelle une nouvelle fois, comme d’autres partis, à annuler, compte tenu notamment de leur coût et du facteur de division qu’elle peuvent représenter, notamment sur des sujets sensibles comme la relecture de l’accord de paix de 2015.
« L'isolement diplomatique du Mali »
Le parti du bélier estime également que « le pays court le risque d’un nouvel effondrement » en raison de la grave dégradation de la situation sécuritaire. La présence jihadiste n’est pas nouvelle dans le pays, mais son extension ainsi que l’amplification de la sous-administration du territoire – dans le nord et le centre du pays notamment – signent, selon le Parena, « l’échec du gouvernement de Transition ».
Sont enfin dénoncés « l’isolement diplomatique sans précédent du Mali » - une référence aux crises ouvertes avec la France ou la Cédéao - ainsi que « l’instauration d’un climat d’intolérance et d’atteinte aux libertés démocratiques fondamentales ». L’incarcération d’Issa Kaou N’Djim, vice-président du CNT, en est présentée comme la dernière illustration.
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