«Je n’ai pas voulu me constituer ni pour l’Etat du Sénégal ni pour Khalifa Sall. Je suis un acteur politique et je préfère être un peu neutre. Bien que ce soit difficile, je ne parlerai que des faits sur le plan juridique et sur le plan technique». Dixit Me Ousmane Sèye qui se prononçait sur l’affaire Khalifa Sall.
L’avocat qui était l’invité de l’émission «Grand Jury» de la RFM soutient qu’il se devait de rétablir la vérité d’autant plus que dans cette affaire, il y a beaucoup de désinformation, beaucoup d’intoxications». Et, le premier fait auquel il va s’attaquer est le caractère «politique» qu’on donne à ce dossier. Ce qui, à son avis, est inexact.
«Un procès politique, il concerne une personnalité politique, avec des faits politiques, jugés par des juridictions politiques. Ce n’est pas d’abord possible au Sénégal», d’autant plus que la Caisse d’avance qui vaut au maire de Dakar d’être poursuivi en justice n’est pas «un fonds politique», terme qui, d’ailleurs, «n’existe pas dans la juridiction sénégalaise».
Même s’il reconnaît que ce procès concerne une personnalité politique de l’envergure de Khalifa Sall, le leader du Front républicain indique que les délits qui lui sont reprochés sont des faits de droits commun. Et la preuve, explique-t-il, c’est que l’affaire est jugé en correctionnel.
L’avocat qui était l’invité de l’émission «Grand Jury» de la RFM soutient qu’il se devait de rétablir la vérité d’autant plus que dans cette affaire, il y a beaucoup de désinformation, beaucoup d’intoxications». Et, le premier fait auquel il va s’attaquer est le caractère «politique» qu’on donne à ce dossier. Ce qui, à son avis, est inexact.
«Un procès politique, il concerne une personnalité politique, avec des faits politiques, jugés par des juridictions politiques. Ce n’est pas d’abord possible au Sénégal», d’autant plus que la Caisse d’avance qui vaut au maire de Dakar d’être poursuivi en justice n’est pas «un fonds politique», terme qui, d’ailleurs, «n’existe pas dans la juridiction sénégalaise».
Même s’il reconnaît que ce procès concerne une personnalité politique de l’envergure de Khalifa Sall, le leader du Front républicain indique que les délits qui lui sont reprochés sont des faits de droits commun. Et la preuve, explique-t-il, c’est que l’affaire est jugé en correctionnel.
Autres articles
-
Taïba: les témoignages poignant de Moustapha Sylla à Khalifa Sall
-
Sédhiou : Khalifa Sall promet de mettre fin aux difficultés dont souffrent les populations
-
Reubeuss : 69 détenus dits politiques libérés, dont Ndongo Diop et Kaba Diakité
-
Amadou Ba met en garde les habitants de Nioro du Rip contre les discours des autres candidats
-
Kolda: l'ancienne directrice de campagne du candidat Daouda Ndiaye rejoint la coalition Diomaye Président