
Lors d'une visite à Tripoli Antonio Tajani, le patron du Parlement européen a souligné la nécessité d'établir cette "liste noire" des principaux passeurs de migrants, en vue de combattre le trafic en Europe et en Afrique.
Lors d'une conférence de presse dans la capitale libyenne le président du Parlement européen a déclaré : "les passeurs sont des terroristes, des trafiquants d'armes et d'êtres humains, si nous n'arrivons pas à anéantir ces organisations criminelles, il sera très difficile de lutter contre l'immigration clandestine".
A Tripoli Antonio Tajani a rencontré le chef du gouvernement libyen d'union nationale Fayez al-Sarraj avec qui il a discuté de l'importance de surveiller les frontières sud de la Libye en vue de limiter les flux de migrants qui arrivent dans ce pays.
Par ailleurs M. Tajani a indiqué que l'UE était prête à aider la Libye dans l'organisation des prochaines élections, notamment dans la préparation technique et l'envoi d'observateurs pour veiller au bon déroulement du scrutin.
En Mai dernier le président français Emmanuel Macron avait réuni à Paris les principaux protagonistes de la crise libyenne, et obtenu un engagement sur des élections présidentielle et législatives le 10 décembre.
Mais le morcellement du pays rend toutefois ces promesses assez fragiles.
Lors d'une conférence de presse dans la capitale libyenne le président du Parlement européen a déclaré : "les passeurs sont des terroristes, des trafiquants d'armes et d'êtres humains, si nous n'arrivons pas à anéantir ces organisations criminelles, il sera très difficile de lutter contre l'immigration clandestine".
A Tripoli Antonio Tajani a rencontré le chef du gouvernement libyen d'union nationale Fayez al-Sarraj avec qui il a discuté de l'importance de surveiller les frontières sud de la Libye en vue de limiter les flux de migrants qui arrivent dans ce pays.
Par ailleurs M. Tajani a indiqué que l'UE était prête à aider la Libye dans l'organisation des prochaines élections, notamment dans la préparation technique et l'envoi d'observateurs pour veiller au bon déroulement du scrutin.
En Mai dernier le président français Emmanuel Macron avait réuni à Paris les principaux protagonistes de la crise libyenne, et obtenu un engagement sur des élections présidentielle et législatives le 10 décembre.
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