Le 24 juin, l’ONG nigérienne Action et programme d’impact au Sahel est en mission de ciblage des personnes vulnérables en pleine période de soudure. Au moins onze humanitaires sont sur le terrain, à Bossey Bangou, dans un hameau de la commune de Makalondi au Niger, avant de disparaître. Rapidement, leurs responsables accusent les jihadistes présents dans la zone d’être responsable du rapt. C'est le premier enlèvement d’humanitaires dans cette région au coeur des trois frontières.
Si une semaine plus tard, le 1er juillet, le gouverneur du Tilabéri et l’ONG et le PAM, partenaire de l’APIS, annonçaient leur libération, depuis personne n’a vu ces humanitaires disparus. « Est-ce qu’ils sont perdus ? Est-ce qu’ils sont toujours détenus ? Les recherches continuent mais il y a beaucoup d’éléments tenus au secret », indique un responsable humanitaire. Une autorité locale confirme qu’ils n’ont finalement pas réapparus et qu’ils seraient selon lui toujours en captivité.
Si une semaine plus tard, le 1er juillet, le gouverneur du Tilabéri et l’ONG et le PAM, partenaire de l’APIS, annonçaient leur libération, depuis personne n’a vu ces humanitaires disparus. « Est-ce qu’ils sont perdus ? Est-ce qu’ils sont toujours détenus ? Les recherches continuent mais il y a beaucoup d’éléments tenus au secret », indique un responsable humanitaire. Une autorité locale confirme qu’ils n’ont finalement pas réapparus et qu’ils seraient selon lui toujours en captivité.
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