Après la demi-sœur d'Ali Bongo, c'est son cousin qui a décidé de passer par les tribunaux pour contester la nationalité du président. Avec sa procédure Léon Paul Ngoulakia espère obtenir le droit d'aller fouiller les archives de la Commission électorale afin de déterrer un document présenté par le chef de l'Etat il y a 26 ans. « Nous voulons savoir si l‘acte de naissance que monsieur Ali Bongo a produit en 1990 dans son dossier de député est le même qu’il a produit en 2016. Comment voulez-vous que quelqu’un à la tête d’un pays, ne puisse pas prouver son état civil, d’une manière franche et juste ? » demande-t-il.
Neveu de Joséphine Bongo, Léon Paul Ngoulakia a de toute façon son idée sur la nationalité de son cousin germain, qui lui aurait été présenté un jour de 1968 au palais du bord de mer : « Je suis arrivé en 1967, et quand je suis arrivé j’étais l’enfant qui était dans cette maison. Quelques temps après, deux autres enfants sont arrivés : des filles. Le jour où nous avons quitté le petit palais pour rentrer dans le grand palais, après le décès du président Léon Mba, nous étions ces trois enfants. Une année plus tard, en 1968, si vos parents vous disent "vous avez un frère qui est en France, il va venir", vous êtes content d’accueillir votre frère.
Moi-même j’étais plus jeune. Donc lorsque ma tante m’a amené avec elle, alors qu’elle était en mariage avec le président Omar Bongo, il était difficile de poser des questions sur un frère ou un enfant de la maison, pour savoir si oui ou non il était l’enfant de ma tante et de son mari. Donc à cet âge-là, je ne pouvais pas poser la question. »
Source: Rfi.fr
Neveu de Joséphine Bongo, Léon Paul Ngoulakia a de toute façon son idée sur la nationalité de son cousin germain, qui lui aurait été présenté un jour de 1968 au palais du bord de mer : « Je suis arrivé en 1967, et quand je suis arrivé j’étais l’enfant qui était dans cette maison. Quelques temps après, deux autres enfants sont arrivés : des filles. Le jour où nous avons quitté le petit palais pour rentrer dans le grand palais, après le décès du président Léon Mba, nous étions ces trois enfants. Une année plus tard, en 1968, si vos parents vous disent "vous avez un frère qui est en France, il va venir", vous êtes content d’accueillir votre frère.
Moi-même j’étais plus jeune. Donc lorsque ma tante m’a amené avec elle, alors qu’elle était en mariage avec le président Omar Bongo, il était difficile de poser des questions sur un frère ou un enfant de la maison, pour savoir si oui ou non il était l’enfant de ma tante et de son mari. Donc à cet âge-là, je ne pouvais pas poser la question. »
Source: Rfi.fr
Autres articles
-
Les USA fustigent la détention de ses agents en Afrique du Sud
-
Coup d'État au Bénin : l'ONU met en garde contre des "réformes excluantes"
-
Nationalisation de Somair au Niger: Paris ouvre une enquête pour «vol en bande organisée»
-
CEDEAO : une délégation des Chefs d'état-major généraux des armées va séjourner en Guinée-Bissau du 19 au 23 décembre
-
Burundi: l’ONU lance un appel pour pouvoir venir en aide aux réfugiés fuyant l’est de la RDC





Les USA fustigent la détention de ses agents en Afrique du Sud


