« Aujourd’hui, dans toutes les localités du Sénégal, les militants qu’on avait essayé d’abuser en leur faisant croire que le débat que nous posons vise Me Wade, ont lu le mémorandum et ont compris. Pour l’essentiel, ils se reconnaissent dans ce débat et ont signé. Partout dans les fédérations et les sections, les militants sont en train de signer pour manifester leur adhésion au contenu du mémorandum. Pour nous, c’est ce qui est important et nous irons vers d’autres paliers parce qu’un parti, c’est un bien collectif qui ne peut pas être accaparé par un groupuscule qui en fait ce qu’il veut, qui organise des tournées ou des meetings en excluant des leaders et responsables du parti, pour après leur attribuer l’échec et le fiasco des manifestations. Cela ne peut pas continuer », lance Mamadou Lamine Keïta qui cite « ceux qui, en l’absence de Me Wade, tiennent les rênes du parti ».
«Comment pouvez-vous comprendre qu’on organise une tournée du FPDR (Front Patriotique pour la Défense de la République) dans lequel le PDS est le parti majoritaire et devait être la locomotive mais passe comme inexistant ? Cela pose un véritable problème », marque le maire de Bignona de préciser qu’ «en 2000, pour aller au pouvoir, tous les leaders de l’opposition ont renoncé à leurs ambitions présidentielles pour se retrouver autour d’Abdoulaye Wade…Aujourd’hui, dans une perspective de constituer un front qui va être l’alternative à Benno Bokk Yaakaar (BBY), le PDS qui est le parti le plus fort sur l’échiquier national est dans une coalition où il joue les derniers rôles », fulmine le responsable libéral qui semble dire que trop, c’est trop.
Selon lui le constat est là au PDS : « Aujourd’hui, Me Wade n’a pas la disponibilité pour gérer le parti mais le choix qu’il a opéré pour le suppléer est un choix qui ne fonctionne pas, qui n’est pas accepté… ». A ce propos, attaque-t-il : «Je suis d’accord avec Farba Senghor, Oumar Sarr n’a pas les qualités pour impulser et propulser le PDS vers des victoires. Dans une interview accordée à « l’Observateur », l’ancien ministre de la Jeunesse sous Wade d’expliquer que « ce n’est pas l’homme qui va nous apporter cela et si on ne corrige pas cela tout de suite, on va droit dans le mur ».
«Comment pouvez-vous comprendre qu’on organise une tournée du FPDR (Front Patriotique pour la Défense de la République) dans lequel le PDS est le parti majoritaire et devait être la locomotive mais passe comme inexistant ? Cela pose un véritable problème », marque le maire de Bignona de préciser qu’ «en 2000, pour aller au pouvoir, tous les leaders de l’opposition ont renoncé à leurs ambitions présidentielles pour se retrouver autour d’Abdoulaye Wade…Aujourd’hui, dans une perspective de constituer un front qui va être l’alternative à Benno Bokk Yaakaar (BBY), le PDS qui est le parti le plus fort sur l’échiquier national est dans une coalition où il joue les derniers rôles », fulmine le responsable libéral qui semble dire que trop, c’est trop.
Selon lui le constat est là au PDS : « Aujourd’hui, Me Wade n’a pas la disponibilité pour gérer le parti mais le choix qu’il a opéré pour le suppléer est un choix qui ne fonctionne pas, qui n’est pas accepté… ». A ce propos, attaque-t-il : «Je suis d’accord avec Farba Senghor, Oumar Sarr n’a pas les qualités pour impulser et propulser le PDS vers des victoires. Dans une interview accordée à « l’Observateur », l’ancien ministre de la Jeunesse sous Wade d’expliquer que « ce n’est pas l’homme qui va nous apporter cela et si on ne corrige pas cela tout de suite, on va droit dans le mur ».
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