«Le projet pédagogique de l’Ussein prend en charge toutes les dimensions de la chaine de valeur de l’agriculture, de la fourche à la fourchette. Et le cadre de vie et propose des formations et des recherches doctorantes», a déclaré Amadou Tidiane Guiro, le recteur de l’Ussein sur ce partenariat qui va durer 4 ans.
Poursuivant, M. Guiro affirme que : «Nous avons pu, à ce jour, trouver une correspondance avec une trentaine de licences professionnelles comprenant plusieurs centaines de spécialités. Nous partons des besoins identifiés pour proposer une offre de formation qui associe universitaires, chercheurs, développeurs, organisations de producteurs du secteur privé».
Mais pour démarrer, l’Ussein a besoin d’enseignants d’où cette déclaration du recteur qui informe que la sélection des 850 enseignants-chercheurs pour les besoins de cette université est lancée : «La commission de sélection des candidats qui souhaitent enseigner à l’Ussein et qui sont au nombre de 850 va commencer à se réunir et devra achever sa sélection au plus tard le 30 mars 2016».
Le représentant de l’Iavff, Christian Kauste partage le même avis sur l’importance de ce partenariat entre les deux Universités. En effet, il a révélé qu’il permettra «de dessiner et de construire ensemble un projet pédagogique solide pour répondre aux attentes de tous les acteurs agricoles en l’espace de 2ans», mais que «tous les financements ne sont pas encore entièrement sécurisés».
Cette rencontre s’est déroulée en présence de l’ambassadeur de France, Jean-Félix Paganon et du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane. Ce dernier a même soutenu que son ministère financera l’an 2 du partenariat entre les deux structures : «Je voudrais vous assurer que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche assurera les ressources nécessaires pour assurer le financement de l’an 2 du partenariat». Car conclut-il : «La jeunesse sénégalaise doit bénéficier d’une formation en adéquation avec les besoins de l’économie qui lui permettra de trouver un emploi et de s’insérer dans le tissu socio-économique».
Poursuivant, M. Guiro affirme que : «Nous avons pu, à ce jour, trouver une correspondance avec une trentaine de licences professionnelles comprenant plusieurs centaines de spécialités. Nous partons des besoins identifiés pour proposer une offre de formation qui associe universitaires, chercheurs, développeurs, organisations de producteurs du secteur privé».
Mais pour démarrer, l’Ussein a besoin d’enseignants d’où cette déclaration du recteur qui informe que la sélection des 850 enseignants-chercheurs pour les besoins de cette université est lancée : «La commission de sélection des candidats qui souhaitent enseigner à l’Ussein et qui sont au nombre de 850 va commencer à se réunir et devra achever sa sélection au plus tard le 30 mars 2016».
Le représentant de l’Iavff, Christian Kauste partage le même avis sur l’importance de ce partenariat entre les deux Universités. En effet, il a révélé qu’il permettra «de dessiner et de construire ensemble un projet pédagogique solide pour répondre aux attentes de tous les acteurs agricoles en l’espace de 2ans», mais que «tous les financements ne sont pas encore entièrement sécurisés».
Cette rencontre s’est déroulée en présence de l’ambassadeur de France, Jean-Félix Paganon et du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane. Ce dernier a même soutenu que son ministère financera l’an 2 du partenariat entre les deux structures : «Je voudrais vous assurer que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche assurera les ressources nécessaires pour assurer le financement de l’an 2 du partenariat». Car conclut-il : «La jeunesse sénégalaise doit bénéficier d’une formation en adéquation avec les besoins de l’économie qui lui permettra de trouver un emploi et de s’insérer dans le tissu socio-économique».
Autres articles
-
Sédhiou : des éleveurs de Sakar marchent pour dénoncer les vols répétitifs de bétail
-
Daaka Médina Gounass : le comité d’organisation salue la mobilisation des services de l’Etat
-
Encore un accident : un mini car s’est renversé sur la route de Baïla (Sud)
-
Koungheul : un récital de coran organisée en l’encontre des victimes de l’accident de Yamong
-
Accidents répétitifs sur les routes : le Réseau des Parlementaires appelle à la prudence