A l’occasion de la présentation du rapport du Fonds Monétaire International (FMI), qui porte sur les perspectives économiques régionales consacré à l’Afrique subsaharienne, ce mardi 2 novembre, la représente résidente du FMI au Sénégal, Mme Valeria Fichera a exprimé ses craintes sur un éventuel changement de politique économique au Sénégal. «On est dans une période de transition électorale en 2012 et donc 2011 pourrait être une année où des changements de politique économique motivé par de l’opportunisme politique pourrait se manifester» a-t-elle fait savoir. De son avis, dans ce contexte d’approche des élections (2012), la gestion macro économique pourrait prendre des directions d’opportunisme politique qui pourrait engendrait des problèmes de stabilité macro.
Toutefois, elle est convaincu que «l’engagement du gouvernement du Sénégal à entreprendre un nouveau programme ISP avec le FMI nous fait bien penser que la gestion macro économique de 2011 sera solide et la stabilité sera préservée».
Parmi les risques on peut noter ceux qui sont internes à l’image du problème d’approvisionnement en électricité. Pour Valeria Fichera, la contrainte du secteur de l’énergie joue un rôle important dans la croissance au Sénégal. Elle a confié que «si le type de manque d’énergie que l’on a expérimenté entre 2009 et 2010 se maintiennent, les risques pour la croissance seront importants. On espère que les réformes qui seront mises en place en 2010 et en 2011 pourront permettre une fourniture d’énergie qui satisfait la demande existante et qui pourrait permettre une croissance au niveau de 4 ou 5%».
Toutefois, elle est convaincu que «l’engagement du gouvernement du Sénégal à entreprendre un nouveau programme ISP avec le FMI nous fait bien penser que la gestion macro économique de 2011 sera solide et la stabilité sera préservée».
Parmi les risques on peut noter ceux qui sont internes à l’image du problème d’approvisionnement en électricité. Pour Valeria Fichera, la contrainte du secteur de l’énergie joue un rôle important dans la croissance au Sénégal. Elle a confié que «si le type de manque d’énergie que l’on a expérimenté entre 2009 et 2010 se maintiennent, les risques pour la croissance seront importants. On espère que les réformes qui seront mises en place en 2010 et en 2011 pourront permettre une fourniture d’énergie qui satisfait la demande existante et qui pourrait permettre une croissance au niveau de 4 ou 5%».
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