Ils sont issus des mouvements jeunesse du RHDP, du PDCI, des deux branches du FPI, ou tout simplement de la société civile. Ils ont lancé l’alliance sacrée des jeunes pour la sauvegarde de la paix. Tous âgés de la petite trentaine, ils n’ont qu’une peur : revivre 2010.
« Nous sommes inquiets et ne voulons pas retomber dans la violence, explique Raphael Zoura Bi, adhérent au RHDP. C'est pourquoi nous, jeunes, sommes venus interpeller nos dirigeants pour qu'ils s'impliquent massivement, davantage, pour que véritablement, on n'aille pas à la dérive. »
Il y a dix ans Dimesse Touragnon, faisait partie de la galaxie patriotique. Il est membre du FPI GOR et a connu l’exil, dont il rentre à peine. « On est fatigués, s'esclame-t-il. Notre objectif, c'est la paix. On est fatigués des emprisonnements. il faut calmer le jeu ! »
Parler d'emploi pour la jeunesse
Pour Yaya Dosso, président du Sénat des jeunes d’Abidjan, « quand le pays est détruit, c'est la jeunesse qui paie. Il n'y a plus d'écoles, les universités ferment. Comment faire ? Est-ce qu'on pourra parler d'emploi pour la jeunesse ? Est-ce qu'on pourra parler de développement ? »
Véronique Kapi est commerçante. Elle n’appartient à aucun parti. « Le message que nous vous apporter aux leaders, c'est de vraiment mettre un peu d'eau dans leur vin afin qu'ils s'asseyent pour le dialogue », explique-t-elle.
« Nous sommes inquiets et ne voulons pas retomber dans la violence, explique Raphael Zoura Bi, adhérent au RHDP. C'est pourquoi nous, jeunes, sommes venus interpeller nos dirigeants pour qu'ils s'impliquent massivement, davantage, pour que véritablement, on n'aille pas à la dérive. »
Il y a dix ans Dimesse Touragnon, faisait partie de la galaxie patriotique. Il est membre du FPI GOR et a connu l’exil, dont il rentre à peine. « On est fatigués, s'esclame-t-il. Notre objectif, c'est la paix. On est fatigués des emprisonnements. il faut calmer le jeu ! »
Parler d'emploi pour la jeunesse
Pour Yaya Dosso, président du Sénat des jeunes d’Abidjan, « quand le pays est détruit, c'est la jeunesse qui paie. Il n'y a plus d'écoles, les universités ferment. Comment faire ? Est-ce qu'on pourra parler d'emploi pour la jeunesse ? Est-ce qu'on pourra parler de développement ? »
Véronique Kapi est commerçante. Elle n’appartient à aucun parti. « Le message que nous vous apporter aux leaders, c'est de vraiment mettre un peu d'eau dans leur vin afin qu'ils s'asseyent pour le dialogue », explique-t-elle.
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