Leur rixe ahurissante à l’aéroport d’Orly a été vue plus de deux millions de fois sur Twitter. Les rappeurs Booba et Kaaris, poursuivis notamment pour "violences aggravées", connaîtront la décision du tribunal de Créteil ce mardi. A l'issue de l'audience du 6 août dernier, le procureur avait requis un an de prison avec sursis, contre les "petits bourgeois du clash", comme il les avait qualifiés.
En tout, onze personnes sont jugées pour "violences aggravées" dans cette affaire. L’épilogue d'une rivalité entretenue depuis des années qui s'est concrétisée par une bagarre générale dans une salle d'embarquement de l’aéroport d’Orly.
50.000 euros de dégâts
Le 1er août dernier, les deux bandes rivales se croisent, se toisent dans le terminal. Un regard défiant, une parole déplacée et la situation dégénère. Les images de l’affrontement, largement relayées sur les réseaux sociaux, montrent les adversaires, flacon de parfum au poing, se frappant, esquivant les coups, renversant un rayon d’une boutique duty-free… Au final, des blessés légers dans chaque camp, des vols retardés et plus de 50.000 euros de casse.
Immédiatement interpellés, les deux chefs de clans et leurs gardes rapprochées ont été placés en détention provisoire avant d’être libérés trois semaines plus tard avec une interdiction de quitter le territoire, que le tribunal a levée dans l’attente..
En tout, onze personnes sont jugées pour "violences aggravées" dans cette affaire. L’épilogue d'une rivalité entretenue depuis des années qui s'est concrétisée par une bagarre générale dans une salle d'embarquement de l’aéroport d’Orly.
50.000 euros de dégâts
Le 1er août dernier, les deux bandes rivales se croisent, se toisent dans le terminal. Un regard défiant, une parole déplacée et la situation dégénère. Les images de l’affrontement, largement relayées sur les réseaux sociaux, montrent les adversaires, flacon de parfum au poing, se frappant, esquivant les coups, renversant un rayon d’une boutique duty-free… Au final, des blessés légers dans chaque camp, des vols retardés et plus de 50.000 euros de casse.
Immédiatement interpellés, les deux chefs de clans et leurs gardes rapprochées ont été placés en détention provisoire avant d’être libérés trois semaines plus tard avec une interdiction de quitter le territoire, que le tribunal a levée dans l’attente..
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