Sur RTL, le ministre de l’Intérieur a expliqué que ces contrôles, annoncés depuis la veille mais sans qu’aucun établissement ne soit nommément désigné, étaient destinés « à lever des doutes ». Il a fait valoir qu’avec « 76 lieux de culte soupçonnés de radicalisation sur 2.600, on était loin de la radicalisation généralisée ».
En cas de doute, « on les fermera »
« La quasi-intégralité des musulmans en France respectent les lois de la République et sont blessés par cela (la radicalisation) », a-t-il poursuivi. Et de prévenir : « si jamais les doutes étaient confirmés » sur une radicalisation des lieux de culte ciblés, « on les fermera ».
Interrogé sur les « 231 personnes radicalisées et en situation irrégulière » dont il a annoncé l’expulsion, Gérald Darmanin a précisé que « 66 ont été expulsées, une cinquantaine d’entre eux sont dans des centres de rétention administrative (CRA) (…), une trentaine d’entre eux sont assignés à résidence (…) et il reste entre 70 à 80 que l’on doit identifier ou qui ont fait des recours ».
S’agissant des deux personnes, mises en cause pour complicité dans l’attentat de Nice du 14 juillet 2016, remises en liberté pour vice de procédure, Darmanin a assuré avoir demandé au préfet « une assignation à résidence et une surveillance » de celles-ci.
En cas de doute, « on les fermera »
« La quasi-intégralité des musulmans en France respectent les lois de la République et sont blessés par cela (la radicalisation) », a-t-il poursuivi. Et de prévenir : « si jamais les doutes étaient confirmés » sur une radicalisation des lieux de culte ciblés, « on les fermera ».
Interrogé sur les « 231 personnes radicalisées et en situation irrégulière » dont il a annoncé l’expulsion, Gérald Darmanin a précisé que « 66 ont été expulsées, une cinquantaine d’entre eux sont dans des centres de rétention administrative (CRA) (…), une trentaine d’entre eux sont assignés à résidence (…) et il reste entre 70 à 80 que l’on doit identifier ou qui ont fait des recours ».
S’agissant des deux personnes, mises en cause pour complicité dans l’attentat de Nice du 14 juillet 2016, remises en liberté pour vice de procédure, Darmanin a assuré avoir demandé au préfet « une assignation à résidence et une surveillance » de celles-ci.
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