L’échéance approche, et les pays sont à pied œuvre pour la mise en place de l’ensemble des réformes budgétaires et financières des pays de l’Uemoa. Ainsi d’ici le 1 juin 2017 tous les pays vont basculer dans un nouveau régime financier. Un régime financier qui va consacrer les budgets adossés à un objectif de résultats et non plus de moyens seulement.
De l’avis du secrétaire général du Ministère de l’Economie des Finances et du Plan (MEFP), qui a procédé à la clôture de cet atelier de trois jours « les Etats en ont profité pour réaliser l’exercice d’auto évaluation grâce à l’outil proposé par la Commission de l’UEMOA ».
Cheikh Tidiane Diop s’est réjoui aussi de « l’engagement personnel de l’ensemble des participants des Etats, de la Commission de l’UEMOA, et des partenaires techniques et financiers, et la qualité des débats soulignent la pertinence de l’organisation d’un tel atelier, pour dresser un bilan et cerner quels sont les prochains défis qui nous attendent».
A l’en croire, « les échanges et le partage d’expériences entre Etats ont montré que tous les Etats ont fortement progressé, chacun à son rythme et selon ses spécificités, pour mettre en œuvre la Directive relative aux lois de finances. Les progrès ont été remarquables sur le volet de la préparation budgétaire, même si certains progrès restent à accomplir, par exemple pour mieux prendre en compte les préoccupations des parlements»,.
Cependant, le secrétaire général du MEFP, est d’avis que « le niveau d’avancement des pays dans la réforme n’est pas le même, il se dégage ainsi comme principales conclusions de cet atelier le basculement impératif vers le budget en mode programme dès le 1er janvier 2017, pour les pays les plus avancés; de même que la nature irréversible du processus et la continuation du processus d’apprentissage et d’optimisation de la mise en œuvre des réformes».
Cheikh Tidiane Diop a fait cette déclaration lors de la cérémonie de clôture qui s’est ouvert depuis lundi à Dakar sur le partage sur l'avancée de la mise en œuvre des Directives du cadre harmonisé des finances publiques de l’UEMOA,
De l’avis du secrétaire général du Ministère de l’Economie des Finances et du Plan (MEFP), qui a procédé à la clôture de cet atelier de trois jours « les Etats en ont profité pour réaliser l’exercice d’auto évaluation grâce à l’outil proposé par la Commission de l’UEMOA ».
Cheikh Tidiane Diop s’est réjoui aussi de « l’engagement personnel de l’ensemble des participants des Etats, de la Commission de l’UEMOA, et des partenaires techniques et financiers, et la qualité des débats soulignent la pertinence de l’organisation d’un tel atelier, pour dresser un bilan et cerner quels sont les prochains défis qui nous attendent».
A l’en croire, « les échanges et le partage d’expériences entre Etats ont montré que tous les Etats ont fortement progressé, chacun à son rythme et selon ses spécificités, pour mettre en œuvre la Directive relative aux lois de finances. Les progrès ont été remarquables sur le volet de la préparation budgétaire, même si certains progrès restent à accomplir, par exemple pour mieux prendre en compte les préoccupations des parlements»,.
Cependant, le secrétaire général du MEFP, est d’avis que « le niveau d’avancement des pays dans la réforme n’est pas le même, il se dégage ainsi comme principales conclusions de cet atelier le basculement impératif vers le budget en mode programme dès le 1er janvier 2017, pour les pays les plus avancés; de même que la nature irréversible du processus et la continuation du processus d’apprentissage et d’optimisation de la mise en œuvre des réformes».
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