Pour la gestion 1999, les recettes ordinaires se chiffrent à 535,7 milliards de francs pour une prévision initiale de 550,1 milliards, soit un taux de recouvrement de 97,39 %. Elles enregistrent une moins-value de 14,3 milliards, soit un pourcentage négatif de 2,61%, indique notamment le rapport de la Commission de l’économie générale, des finances du Sénat.
Les recettes fiscales ont été recouvrées à hauteur de 456,1 milliards contre une prévision de 474,5 milliards, équivalent à un taux de recouvrement de 96,1 % durant la même période.
Pour l’année 2000, le budget avait été arrêté à la somme de 831,4 milliards de francs contre 855 milliards en 1999. Ce qui laisse apparaître une baisse de 23,6 milliards en valeur absolue et 2,8 % en valeur relative.
En 2001, le budget arrêté à la somme de 1002,7 milliards de francs contre 831,4 milliards en 1999, a enregistré une hausse de 171,3 milliards de francs, équivalant à un pourcentage de 20,6 %.
La loi de finances 2002, qui avait été arrêtée à la somme de 1000,4 milliards de francs, contre 1002,7 % l’année précédente, a connu une baisse de 2,3 milliards, soit un pourcentage de 0,23 %.
Le ministère de l’Economie et des Finances impute cette baisse au niveau important de ressources additionnelles apportées en 2001 par la loi de finance rectificative, selon le document.
Les recettes fiscales ont été recouvrées à hauteur de 456,1 milliards contre une prévision de 474,5 milliards, équivalent à un taux de recouvrement de 96,1 % durant la même période.
Pour l’année 2000, le budget avait été arrêté à la somme de 831,4 milliards de francs contre 855 milliards en 1999. Ce qui laisse apparaître une baisse de 23,6 milliards en valeur absolue et 2,8 % en valeur relative.
En 2001, le budget arrêté à la somme de 1002,7 milliards de francs contre 831,4 milliards en 1999, a enregistré une hausse de 171,3 milliards de francs, équivalant à un pourcentage de 20,6 %.
La loi de finances 2002, qui avait été arrêtée à la somme de 1000,4 milliards de francs, contre 1002,7 % l’année précédente, a connu une baisse de 2,3 milliards, soit un pourcentage de 0,23 %.
Le ministère de l’Economie et des Finances impute cette baisse au niveau important de ressources additionnelles apportées en 2001 par la loi de finance rectificative, selon le document.
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