La décision de la justice française de libérer l'un des deux auteurs du meurtre d'un prêtre en l'assignant à résidence sous bracelet électronique est un «échec, il faut le reconnaître», estime le chef du gouvernement dans une interview au «Monde». «Cela doit conduire les magistrats à avoir une approche différente, dossier par dossier, compte tenu des pratiques de dissimulation très poussées des jihadistes». Manuel Valls ne veut pas cependant tomber «dans la facilité de rendre ces juges responsables de cet acte de terrorisme». Par ailleurs, il envisage d'interdire le financement des mosquées par l'étranger.
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