Siége CBAO de la place de l'Indépendance
Le mot d’ordre de grève du collège des délégués de la Compagnie Bancaire de l’Afrique de l’Ouest (CBAO) semble bien respecté à la CBAO de la place de l’indépendance. Ce matin à la grande surprise de la clientèle, elle a trouvé sur place des employés qui ont tous arboré des brassards rouges. Le service n’a pas fonctionné comme d’habitude.
A 11 h tous les clients qui se trouvaient sur place ont été obligés de rebrousser chemin car tous les ordinateurs ont été éteints. Certains plus patients ont préféré se retirer dans un coin espérant certainement que le service reprenne son cours normal. «Nous avons tous éteint nos machines et décroché nos téléphones à 11h et ce sera jusqu’à 14h. Tout le monde a observé le mot d’ordre de grève pour réclamer un partage équitable des primes» a soutenu, la secrétaire générale du collège des délégués, Mme Kane brassard rouge autour de l’avant bras.
Très déconcertée, elle a poursuit, «on ne comprend pas pourquoi, aujourd’hui, pour une prime de fusion une enveloppe est dégagée pour tout le monde et que certains se tapent deux millions sept cent mille francs cfa (2 700 000), deux millions deux cent mille francs cfa (2 200 000), un million trois cent mille francs cfa (1 300 000), sept cent quatre vingt mille francs cfa (780 000) pendant que la grande masse laborieuse a reçu cent mille franc cfa. Nous n’en voulons pas, ils n’ont qu’à débiter nos comptes respectifs » s’est-elle indignée. Selon elle, il y a des irrégularités dans la répartition des primes.
Se voulant convaincante la secrétaire générale du collège des délégués a évoqué l’équité qui a toujours prévalu quand le collège des délégués est associé dans le partage. «A chaque fois qu’il y a répartition de quelque chose si on y implique le collège des délégués nous le faisons d’une manière équitable. Pour preuve lorsqu’il y a eu des terrains pour les employés le mètre carré a été vendu au même prix, 4 000f cfa le mètre carré pour les cadres et 4 000f cfa le mètre carré pour les plantons, les chauffeurs et autres personnels».
Le collège des délégués de la CBAO compte poursuivre le mouvement de grève jusqu'à ce que l’administration réagisse positivement à sa revendication.
A 11 h tous les clients qui se trouvaient sur place ont été obligés de rebrousser chemin car tous les ordinateurs ont été éteints. Certains plus patients ont préféré se retirer dans un coin espérant certainement que le service reprenne son cours normal. «Nous avons tous éteint nos machines et décroché nos téléphones à 11h et ce sera jusqu’à 14h. Tout le monde a observé le mot d’ordre de grève pour réclamer un partage équitable des primes» a soutenu, la secrétaire générale du collège des délégués, Mme Kane brassard rouge autour de l’avant bras.
Très déconcertée, elle a poursuit, «on ne comprend pas pourquoi, aujourd’hui, pour une prime de fusion une enveloppe est dégagée pour tout le monde et que certains se tapent deux millions sept cent mille francs cfa (2 700 000), deux millions deux cent mille francs cfa (2 200 000), un million trois cent mille francs cfa (1 300 000), sept cent quatre vingt mille francs cfa (780 000) pendant que la grande masse laborieuse a reçu cent mille franc cfa. Nous n’en voulons pas, ils n’ont qu’à débiter nos comptes respectifs » s’est-elle indignée. Selon elle, il y a des irrégularités dans la répartition des primes.
Se voulant convaincante la secrétaire générale du collège des délégués a évoqué l’équité qui a toujours prévalu quand le collège des délégués est associé dans le partage. «A chaque fois qu’il y a répartition de quelque chose si on y implique le collège des délégués nous le faisons d’une manière équitable. Pour preuve lorsqu’il y a eu des terrains pour les employés le mètre carré a été vendu au même prix, 4 000f cfa le mètre carré pour les cadres et 4 000f cfa le mètre carré pour les plantons, les chauffeurs et autres personnels».
Le collège des délégués de la CBAO compte poursuivre le mouvement de grève jusqu'à ce que l’administration réagisse positivement à sa revendication.
Autres articles
-
Dette du Sénégal : L’alerte rouge de la Bank of America face au refus d’Ousmane Sonko
-
Crise financière : «La dette cachée est une polémique qui n’a pas sa raison d’être» (Abdourahmane Sarr)
-
Guichets uniques et cybersécurité : les nouvelles priorités du commerce interafricain
-
Banane locale : 12.500 tonnes écoulées en septembre grâce au gel des importations
-
Le Port de Dakar annule les pénalités sur les marchandises maliennes pour trois mois




Dette du Sénégal : L’alerte rouge de la Bank of America face au refus d’Ousmane Sonko


