En football, les choses vont vite, très vite même. Pour beaucoup d’observateurs, rencontrer le Kosovo, même en match amical, n’était pas digne d’une équipe de la « trempe » du Sénégal. Mais quatre jours plus tard, cette rencontre tant décriée de par sa pertinence revêt un enjeu de taille pour les deux équipes.
En effet, avec le nul douté concédé face au Burkina mercredi (21 mai), croiser le fer avec le Kosovo, n’est plus une simple affaire de match de préparation à la Can 2015. La rencontre est devenue un moyen de corriger les erreurs de Ouaga et redonner au peuple une nouvelle raison de croire en une qualification à Maroc 2015. Perdre sera impardonnable.
Pour le Kosovo, qui sort fraichement d’une cinglante défaite face aux espoirs de la Turquie (6-1), faire un résultat positif, même un nul face aux « lions » serait la bienvenue. Surtout que, pour cette jeune République, déclarée indépendante en 2008 et pus connue pour la crise qui y a sévi 10 ans durant que pour ses footballeurs, une victoire devant le Sénégal restera dans les annales.
Les « Lions » ont enregistré un 7e nul en 11 rencontres avec Alain Giresse sur le banc. Le nul face aux « Etalons » était le 4e en autant de match amicaux. Et le score a toujours été le même (1-1). La bande au capitaine Diamé marque, ensuite elle se fait rattraper au score. Un scénario devenu un classique et qui commence à faire douter de la capacité des « lions » de conserver une avance.
De ce fait, battre les Kosovars et de plate couture est devenu un impératif. Déjà pour montrer à la face de l’Afrique que le Sénégal compte toujours dans le gotha du football. Mais aussi faire dissiper le doute qui s’est emparé de la tanière depuis quelques temps.
En effet, avec le nul douté concédé face au Burkina mercredi (21 mai), croiser le fer avec le Kosovo, n’est plus une simple affaire de match de préparation à la Can 2015. La rencontre est devenue un moyen de corriger les erreurs de Ouaga et redonner au peuple une nouvelle raison de croire en une qualification à Maroc 2015. Perdre sera impardonnable.
Pour le Kosovo, qui sort fraichement d’une cinglante défaite face aux espoirs de la Turquie (6-1), faire un résultat positif, même un nul face aux « lions » serait la bienvenue. Surtout que, pour cette jeune République, déclarée indépendante en 2008 et pus connue pour la crise qui y a sévi 10 ans durant que pour ses footballeurs, une victoire devant le Sénégal restera dans les annales.
Les « Lions » ont enregistré un 7e nul en 11 rencontres avec Alain Giresse sur le banc. Le nul face aux « Etalons » était le 4e en autant de match amicaux. Et le score a toujours été le même (1-1). La bande au capitaine Diamé marque, ensuite elle se fait rattraper au score. Un scénario devenu un classique et qui commence à faire douter de la capacité des « lions » de conserver une avance.
De ce fait, battre les Kosovars et de plate couture est devenu un impératif. Déjà pour montrer à la face de l’Afrique que le Sénégal compte toujours dans le gotha du football. Mais aussi faire dissiper le doute qui s’est emparé de la tanière depuis quelques temps.
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