Incarcéré depuis le 25 septembre à la maison centrale d'arrêt de Bamako pour des accusations de séquestration et de coups et blessures aggravés, la star de la Kora est placé en liberté provisoire, selon son avocat joint par la BBC.
Le musicien-star a été libéré sous caution après trois mois de détention.
"A tout moment la personne détenue préventivement peut demander sa mise en liberté provisoire. C'est dans ces conditions que Sidiki Diabaté a demandé sa mise en liberté provisoire", déclaré son avocat Me Cheick Omar Konaré à la BBC.
"Le premier juge d'instruction a refusé la liberté, nous avons fait appel et la Chambre d'accusation de la Cour d'appel a décidé d'accorder la mise en liberté sous caution de 15 millions de Fcfa", a expliqué le défenseur de l'artiste.
Me Konaré a également précisé que l'artiste sera libre de ses mouvements une fois qu'il aura réglé ce montant, ce qui n'était pas encore le cas à l'heure où Me Konaré a été joint par la BBC.
L'avocat s'est refusé à tout commentaire sur l'état de santé de son client mais à évoqué "la joie" de Sidiki Diabaté au prononcé de la décision.
Le chanteur a été arrêté par la police malienne le 21 septembre et placé en garde à vue suite aux accusations de sa compagne Mariam Sow, surnommée Mamacita, une influenceuse d'origine guinéenne très présente sur le réseau social Tik Tok.
La jeune femme dit qu'elle a été en couple avec Sidiki Diabaté pendant sept ans, de 2013 à cette année.
Après trois jours de garde à vue à la brigade d'investigation judiciaire de Bamako, l'artiste musicien avait été déféré le vendredi 25 septembre à la maison centrale d'arrêt de Bamako.
Le musicien malien avait d'abord nié connaître la jeune femme, puis lorsque les accusations ont été rendues publiques, il a déclaré au Monde Afrique que l'affaire était "plus compliquée qu'il n'y paraît", mais il a gardé le silence depuis son arrestation.
Le musicien-star a été libéré sous caution après trois mois de détention.
"A tout moment la personne détenue préventivement peut demander sa mise en liberté provisoire. C'est dans ces conditions que Sidiki Diabaté a demandé sa mise en liberté provisoire", déclaré son avocat Me Cheick Omar Konaré à la BBC.
"Le premier juge d'instruction a refusé la liberté, nous avons fait appel et la Chambre d'accusation de la Cour d'appel a décidé d'accorder la mise en liberté sous caution de 15 millions de Fcfa", a expliqué le défenseur de l'artiste.
Me Konaré a également précisé que l'artiste sera libre de ses mouvements une fois qu'il aura réglé ce montant, ce qui n'était pas encore le cas à l'heure où Me Konaré a été joint par la BBC.
L'avocat s'est refusé à tout commentaire sur l'état de santé de son client mais à évoqué "la joie" de Sidiki Diabaté au prononcé de la décision.
Le chanteur a été arrêté par la police malienne le 21 septembre et placé en garde à vue suite aux accusations de sa compagne Mariam Sow, surnommée Mamacita, une influenceuse d'origine guinéenne très présente sur le réseau social Tik Tok.
La jeune femme dit qu'elle a été en couple avec Sidiki Diabaté pendant sept ans, de 2013 à cette année.
Après trois jours de garde à vue à la brigade d'investigation judiciaire de Bamako, l'artiste musicien avait été déféré le vendredi 25 septembre à la maison centrale d'arrêt de Bamako.
Le musicien malien avait d'abord nié connaître la jeune femme, puis lorsque les accusations ont été rendues publiques, il a déclaré au Monde Afrique que l'affaire était "plus compliquée qu'il n'y paraît", mais il a gardé le silence depuis son arrestation.
Autres articles
-
Hong Kong: Jimmy Lai, figure du camp pro-démocratie, condamné au nom de la sécurité nationale
-
Est de la RDC: comment réagit la communauté internationale à l’offensive de l’AFC/M23
-
Commerce: une taxe de 3 euros imposée sur tous les petits colis importés dans l'UE à partir du 1er juillet 2026
-
Tentative de coup d’État au Bénin: le chef de la diplomatie nigériane réagit à l’appui militaire d’Abuja
-
Cameroun: première audience pour 77 personnes arrêtées après les contestations post-électorales




Hong Kong: Jimmy Lai, figure du camp pro-démocratie, condamné au nom de la sécurité nationale


