‘’Soit, il s’agit de la sécurité de la personne concernée, soit il s’agit de la sécurité de l’ensemble du pays », a-t-il expliqué à ce propos.
‘’Pour le cas de Simone Gbagbo, la réflexion n’est pas encore terminée (…) Il y a plusieurs objets dans la balance » a insisté le garde des sceaux, ministre de la justice, des droits de l’homme et des libertés publiques.
Rappelant que la CPI a une compétence de ‘’complémentarité », il s’est félicité du fonctionnement des juridictions ivoiriennes qui est ‘’aujourd’hui à un bon niveau».
‘’Si son procès (de Simone Ehivet Gbagbo) se passe en Côte d’Ivoire, elle bénéficiera d’un procès équitable », a rassuré le ministre Mamadou Gnénéma Coulibaly selon qui ‘’l'amnésie est un danger pour la Côte d’Ivoire ».
‘’Je ne sais pas qui en voudra à Mme Gbagbo pour ne pas appliquer la loi dans sa rigueur », a-t-il ajouté en estimant que ‘’quand la réflexion prend du temps, elle se bonifie».
La CPI a annoncé fin novembre 2012, avoir émis un mandat d’arrêt contre Simone Gbagbo, la soupçonnant de crimes contre l’Humanité commis durant la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011, qui a fait au moins 3.000 morts.
Le procureur de la CPI, la Gambienne Fatou Bensouda, a exhorté Abidjan à remettre Simone Gbagbo à la Cour. Mme Gbagbo est détenue à Odienné dans le Nord Ouest ivoirien, après la fin de la crise post électorale.
L’ex-président Laurent Gbagbo est détenu à La Haye depuis novembre 2011 par la CPI, qui le soupçonne aussi de crimes contre l’Humanité commis pendant la crise née de son refus à reconnaitre la victoire de son adversaire, Alassane Ouattara à l’issue de la présidentielle du 29 novembre 2010.
Source: StarAfrika.com
‘’Pour le cas de Simone Gbagbo, la réflexion n’est pas encore terminée (…) Il y a plusieurs objets dans la balance » a insisté le garde des sceaux, ministre de la justice, des droits de l’homme et des libertés publiques.
Rappelant que la CPI a une compétence de ‘’complémentarité », il s’est félicité du fonctionnement des juridictions ivoiriennes qui est ‘’aujourd’hui à un bon niveau».
‘’Si son procès (de Simone Ehivet Gbagbo) se passe en Côte d’Ivoire, elle bénéficiera d’un procès équitable », a rassuré le ministre Mamadou Gnénéma Coulibaly selon qui ‘’l'amnésie est un danger pour la Côte d’Ivoire ».
‘’Je ne sais pas qui en voudra à Mme Gbagbo pour ne pas appliquer la loi dans sa rigueur », a-t-il ajouté en estimant que ‘’quand la réflexion prend du temps, elle se bonifie».
La CPI a annoncé fin novembre 2012, avoir émis un mandat d’arrêt contre Simone Gbagbo, la soupçonnant de crimes contre l’Humanité commis durant la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011, qui a fait au moins 3.000 morts.
Le procureur de la CPI, la Gambienne Fatou Bensouda, a exhorté Abidjan à remettre Simone Gbagbo à la Cour. Mme Gbagbo est détenue à Odienné dans le Nord Ouest ivoirien, après la fin de la crise post électorale.
L’ex-président Laurent Gbagbo est détenu à La Haye depuis novembre 2011 par la CPI, qui le soupçonne aussi de crimes contre l’Humanité commis pendant la crise née de son refus à reconnaitre la victoire de son adversaire, Alassane Ouattara à l’issue de la présidentielle du 29 novembre 2010.
Source: StarAfrika.com
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