« Le futur candidat de Benno Bokk Yaakar est déjà sur la scène politique ». La révélation a été faite par le ministre porte-parole et coordonnateur de la communication de la présidence de la République. Yoro Dia, puisque c'est de lui qu'il s'agit, est d'avis que "pour être présidentiable, il faut avoir ce qu’on appelle en communication politique la notoriété spontanée » et cette question a été déjà réglée par le président de la République Macky Sall.
L'invité du jury du dimanche (Jdd) sur Iradio, de ce 9 juillet, est d'abord revenu sur le discours à la nation du président Sall au cours duquel il a annoncé avoir renoncer à une 3e candidature. « Dans le premier mandat, on fait de la politique. Dans le deuxième mandat, on est dans l’histoire. Aujourd’hui, notre travail devient plus difficile parce que nous côtoyons un président de la République qui est entré dans l’histoire. Donc, entre l’histoire et la politique politicienne le choix du président a été vite fait. Aujourd’hui, je suis de ceux qui pensent que la voie de l’émergence tracée par le président de la République est irréversible », a-t-il déclaré.
Selon Yoro Dia, pour être présidentiable, il faut avoir ce qu’on appelle en communication politique la notoriété spontanée. Et, a-t-il informé, "parmi les gens qui sont dans son entourage, quel que soit le monsieur qu’il choisira, ce monsieur a déjà réglé la question de la notoriété spontanée. Le futur candidat de Benno Bokk Yaakar est déjà sur la scène politique ».
Le ministre porte-parole et coordonnateur de la communication de la présidence de la République est d'avis que le combat des Sénégalais devrait être de lutter pour mettre fin au débat électoral éternel. « Le président de la République ne participera pas en 2024 et pour la première fois on aura des élections ouvertes. Maintenant, le débat en 2024 c’est que les sénégalais doivent exiger une bonne fois la fin du débat électoral éternel. Il faut que les sénégalais connaissent ceux qui aspirent à les gouverner », a-t-il lancé.
Non sans s'attaquer de nouveau au leader de Pastef Les patriotes. « Moi, je suis de ceux qui pensent que Sonko est le symptôme de quelque chose. Sonko est le symptôme du malaise de la jeunesse. Malheureusement depuis 1983 le pays est tombé dans le débat spécialement électoral. Je pense que le président Macky Sall a raison de n’être pas tombé dans le piège. Le débat électoral est un piège pour notre démocratie », a-t-il conclu.
L'invité du jury du dimanche (Jdd) sur Iradio, de ce 9 juillet, est d'abord revenu sur le discours à la nation du président Sall au cours duquel il a annoncé avoir renoncer à une 3e candidature. « Dans le premier mandat, on fait de la politique. Dans le deuxième mandat, on est dans l’histoire. Aujourd’hui, notre travail devient plus difficile parce que nous côtoyons un président de la République qui est entré dans l’histoire. Donc, entre l’histoire et la politique politicienne le choix du président a été vite fait. Aujourd’hui, je suis de ceux qui pensent que la voie de l’émergence tracée par le président de la République est irréversible », a-t-il déclaré.
Selon Yoro Dia, pour être présidentiable, il faut avoir ce qu’on appelle en communication politique la notoriété spontanée. Et, a-t-il informé, "parmi les gens qui sont dans son entourage, quel que soit le monsieur qu’il choisira, ce monsieur a déjà réglé la question de la notoriété spontanée. Le futur candidat de Benno Bokk Yaakar est déjà sur la scène politique ».
Le ministre porte-parole et coordonnateur de la communication de la présidence de la République est d'avis que le combat des Sénégalais devrait être de lutter pour mettre fin au débat électoral éternel. « Le président de la République ne participera pas en 2024 et pour la première fois on aura des élections ouvertes. Maintenant, le débat en 2024 c’est que les sénégalais doivent exiger une bonne fois la fin du débat électoral éternel. Il faut que les sénégalais connaissent ceux qui aspirent à les gouverner », a-t-il lancé.
Non sans s'attaquer de nouveau au leader de Pastef Les patriotes. « Moi, je suis de ceux qui pensent que Sonko est le symptôme de quelque chose. Sonko est le symptôme du malaise de la jeunesse. Malheureusement depuis 1983 le pays est tombé dans le débat spécialement électoral. Je pense que le président Macky Sall a raison de n’être pas tombé dans le piège. Le débat électoral est un piège pour notre démocratie », a-t-il conclu.
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