
Le président iranien Hassan Rohani, le 18 septembre, à Téhéran. Reuters/President.ir/Handout via Reuters
Philippe Lalliot
"Porte-parole du ministère français des Affaires étrangères
Nous connaissons tous l’implication de l’Iran aux côtés du régime syrien à travers non seulement un soutien politique mais aussi un soutien militaire, reconnu comme tel d’ailleurs par les autorités iraniennes notamment à l’occasion de cette bataille de Kousseir […] Dès lors, je vois mal comment un pays aussi impliqué dans cette crise et aux côtés d’une des parties à cette crise - le régime syrien - pourrait être un médiateur qui, par définition, doit être neutre et tenir des positions équidistantes entre les parties à un conflit."
Autres articles
-
Iran: un juge abattu dans le sud du pays, selon la justice
-
Nord de la France: un incendie fait 3 morts dont 2 enfants
-
Procès Le Scouarnec: avant le verdict, l'ex-chirurgien pédocriminel assume sa culpabilité
-
Ukraine: Friedrich Merz annonce la fin des restrictions sur la portée des armes livrées à Kiev
-
78e édition du Festival de Cannes : ‘’Un simple accident” de l'Iranien Jafar Panahi remporte la Palme d’or