
Le premier, à monter au créneau pour défendre Hery Rajaonarimampianina, c'est Julien Razafimanazato, ancien ministre sous la Transition, et ancien candidat à la présidentielle : « Ce n’est pas de la vraie colère, mais peut-être c'est de l'incompréhension. En ma qualité de candidat au premier tour, j'ai soutenu Hery Rajaonarimampianina. Actuellement, je suis satisfait parce que le candidat que nous avons choisi peut rassembler toute entité politique existante à Madagascar. Donc ça va faciliter la réconciliation nationale ».
Quelques heures plus tard, devant le palais présidentiel, trois hommes sortent d'une réunion avec l'équipe du président malgache. Parmi eux, il y a Kolo Roger, dont la candidature à la présidentielle avait été annulée et qui a présenté Hery Rajaonarimampianina à sa place. Il s'est exprimé, lui aussi, sur le discours d'Andry Rajoliena : « On vient de vous dire que la famille politique naturelle de Monsieur Hery Rajaonarimampianina c'est le Mapar, et que, à partir du Mapar comme noyau, se développe ce qu'on appelle la majorité élargie ».
Croisée devant le Palais, l'équipe d'Hery Rajaonarimampianina déclare qu'elle ne s'exprime pas, sur le sujet, pour le moment.
Et les journaux de ce week-end titre tous sur « la guerre », « la rupture », ou encore « clash et impasse » entre Andry Rajoelina et Hery Rajaonarimampianina.
Source : Rfi.fr
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