Invitée de l’émission Midi Keng sur PressAfrik Tv, Marie Paule Conaré a salué l’initiative et l’annonce du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, sur le statut des lanceurs d’alerte.
Malgré, elle n’hésite pas à alerter sur les mesures de protection à prendre par l’Etat pour ces lanceurs. « Il faut que la loi prenne en compte des canaux de signalement, confidentiels et précis. Il faudra un canal pour véhiculer les informations, soit avec des autorités ou des structures indépendantes, impartiales et habilitées à enquêter sur les signalements », a-t-elle soutenu, lors de l’émission. La chargée de projet de la Plateforme de Protection des Lanceurs d’Alerte en Afrique (PPLAAF) a expliqué que la discrétion et l’anonymat sur l’identité du lanceur d’alerte « sont tout aussi importants dans ce cadre, préalablement encadré ».
Elle ajoute : « Il faut également mettre des procédures claires et écrites. Il faudra des mesures de protection contre les problèmes socio-professionnels, contre les violences physiques et un soutien psychologique et financier pour les lanceurs. Il faut savoir que ce n’est pas facile de s’y adonner ».
Prenant l’exemple des pays comme le Nigeria et le Ghana sur la récompense de leurs lanceurs d’alerte, Mme Conaré salue l’élan dans ce sens mais insiste sur, en amont, le « préalable cadre juridique à mettre en place par les autorités compétentes ».
Malgré, elle n’hésite pas à alerter sur les mesures de protection à prendre par l’Etat pour ces lanceurs. « Il faut que la loi prenne en compte des canaux de signalement, confidentiels et précis. Il faudra un canal pour véhiculer les informations, soit avec des autorités ou des structures indépendantes, impartiales et habilitées à enquêter sur les signalements », a-t-elle soutenu, lors de l’émission. La chargée de projet de la Plateforme de Protection des Lanceurs d’Alerte en Afrique (PPLAAF) a expliqué que la discrétion et l’anonymat sur l’identité du lanceur d’alerte « sont tout aussi importants dans ce cadre, préalablement encadré ».
Elle ajoute : « Il faut également mettre des procédures claires et écrites. Il faudra des mesures de protection contre les problèmes socio-professionnels, contre les violences physiques et un soutien psychologique et financier pour les lanceurs. Il faut savoir que ce n’est pas facile de s’y adonner ».
Prenant l’exemple des pays comme le Nigeria et le Ghana sur la récompense de leurs lanceurs d’alerte, Mme Conaré salue l’élan dans ce sens mais insiste sur, en amont, le « préalable cadre juridique à mettre en place par les autorités compétentes ».
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