"J’avais ras-le-bol du système. L’Etat se souciait de ses propres intérêts en faisant des fêtes, en faisant des monuments de la renaissance de plusieurs milliards qui n’apportaient rien comme développement. Donc, je ne pouvais plus supporter ce régime (…), et en tant que rappeur, il fallait que je dise : on en a assez ! (…). C’était comme si c’est moi qui ai gagné. Comme si chacun de nous était élu président. C’était extraordinaire ! C’était émouvant. A un moment donné, j’ai même pleuré !", s'est confié l'auteur de la célèbre chanson "Gor gui na dem".
Autres articles
-
Gestion des conflits frontaliers : le gouverneur de Kaffrine prône une approche communautaire
-
Retrait des soldats américains du Niger : des discussions entamées entre Washington et Niamey
-
72 heures de grève virtuelle de SYNPICS/E-media : la direction réagit et justifie la situation
-
Rapport OFNAC 2022 : des maires de plusieurs communes épinglés
-
Opérations pré-hivernales : le gouverneur de Dakar appelle à une mobilisation communautaire