Les trois formations politiques maliennes ayant claqué la porte accusent la convention qui regroupe les partis de la majorité présidentielle d’être devenue une coquille vide.
Amadou Thiam est président du parti Alliance démocratique pour la paix, ADP-Mali, l’un des partis qui ont quitté la mouvance présidentielle. « La convention de la majorité présidentielle a échoué à faire de son cadre un cadre de concertation, de débat politique, démocratique, sur les questions d’intérêt national. »
Autre grief : la gouvernance actuelle. « Il y a un éloignement considérable de la gouvernance actuelle avec les engagements de 2013, quand le président IBK a été élu », estime Amadou Thiam, qui est aussi le deuxième vice-président de l’Assemblée nationale.
La gestion du dossier Nord du Mali par le gouvernement pose aussi problème pour les démissionnaires. « Un papier, une signature n’amènent pas la paix. Dans la mise en œuvre de cet accord de paix, il y a une crainte qui est là, et qui continue à prolonger la souffrance des Maliens. »
Pour cet élu d’autres partis de la majorité présidentielle sont également insatisfaits de la gouvernance actuelle, même s’ils n’ont pas encore franchi le Rubicon.
Source: Rfi.fr
Amadou Thiam est président du parti Alliance démocratique pour la paix, ADP-Mali, l’un des partis qui ont quitté la mouvance présidentielle. « La convention de la majorité présidentielle a échoué à faire de son cadre un cadre de concertation, de débat politique, démocratique, sur les questions d’intérêt national. »
Autre grief : la gouvernance actuelle. « Il y a un éloignement considérable de la gouvernance actuelle avec les engagements de 2013, quand le président IBK a été élu », estime Amadou Thiam, qui est aussi le deuxième vice-président de l’Assemblée nationale.
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