Plus de 200 étudiants sénégalais vivant au Soudan, ont fait une année blanche cette année. C’est ce qu’a déclaré l’Association pour la Bienfaisance Islamique (ABI) de Louga qui informe que «les étudiants sénégalais vivant au soudan, sont resté plus de quatorze (14) mois sans percevoir des aides ou de bourses venant de l’Etat du Sénégal».
«J’étais étudiant au soudan et nous avons vécu des problèmes pareils. Mais le problème majeur, c’est que le Sénégal n’a pas d’ambassade au soudan c’est celle qui est en Egypte qui couvre le soudan», déclare un (1) des membres de l’ABI.
Et d’ajouter: «Les aides des étudiants viennent trop tard et c’est la raison pour laquelle cette année-ci, les étudiants, ne pouvant pas payer leurs inscriptions, ont fait année blanche».
Le président de l’ABI, Makhtar Fall, déplore l’inégalité dans la prise en charge des étudiants en arabe et ceux en français. «Les étudiants en arabe doivent être traités au même pied que ceux qui sont dans les universités françaises», marque-t-il. Ne s’arrêtant pas là, Il appelle les autorités à faire preuve d’équité.
«L’Etat doit se soucier d’avantage des conditions de vie des étudiants qui se trouvent à l’étranger surtout ceux qui sont dans les pays où il n’y a pas d’ambassade. De même, ceux qui sont envoyés pour recueillir les préoccupations de ces sénégalais doivent jouer pleinement leur rôle en rendant compte fidèlement l’autorité afin qu’elle soit bien informé», fulmine-t-il.
«L’étudiant en arabe mérite d’être soutenu comme tout autre étudiant car il fait parti de ceux qui doivent diriger ce pays demain», clôt-t-il sur les ondes de Walf radio.
«J’étais étudiant au soudan et nous avons vécu des problèmes pareils. Mais le problème majeur, c’est que le Sénégal n’a pas d’ambassade au soudan c’est celle qui est en Egypte qui couvre le soudan», déclare un (1) des membres de l’ABI.
Et d’ajouter: «Les aides des étudiants viennent trop tard et c’est la raison pour laquelle cette année-ci, les étudiants, ne pouvant pas payer leurs inscriptions, ont fait année blanche».
Le président de l’ABI, Makhtar Fall, déplore l’inégalité dans la prise en charge des étudiants en arabe et ceux en français. «Les étudiants en arabe doivent être traités au même pied que ceux qui sont dans les universités françaises», marque-t-il. Ne s’arrêtant pas là, Il appelle les autorités à faire preuve d’équité.
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