Le président russe, Vladimir Poutine, a ordonné, lundi 11 décembre, le retrait de la majeure partie du contingent militaire russe en Syrie, lors d’une visite surprise sur la base de Hmeimim, en Syrie, a annoncé l’agence de presse russe Interfax.
« En près de deux ans, les forces armées russes, en collaboration avec l’armée syrienne, ont détruit en grande partie les terroristes internationaux. Par conséquent, j’ai pris la décision de faire rentrer en Russie une partie significative du contingent militaire russe se trouvant en Syrie », a déclaré M. Poutine, cité par Interfax.
« L’objectif de la lutte contre les criminels armés en Syrie, qui nécessitait des moyens de grande envergure des forces armées, a été atteint dans sa totalité, et brillamment », a déclaré Vladimir Poutine, dont le discours a été retransmis avec quelques heures de décalage. « La Syrie a été préservée en tant qu’Etat souverain et indépendant », a-t-il affirmé, remerciant les soldats pour leur travail.
Lancée en 2015, l’intervention militaire russe en Syrie a changé la donne en permettant notamment aux forces gouvernementales de ravir à l’Etat islamique (EI) la cité antique de Palmyre et de chasser les rebelles de leur bastion d’Alep, dans le nord-ouest du pays.
« En près de deux ans, les forces armées russes, en collaboration avec l’armée syrienne, ont détruit en grande partie les terroristes internationaux. Par conséquent, j’ai pris la décision de faire rentrer en Russie une partie significative du contingent militaire russe se trouvant en Syrie », a déclaré M. Poutine, cité par Interfax.
« L’objectif de la lutte contre les criminels armés en Syrie, qui nécessitait des moyens de grande envergure des forces armées, a été atteint dans sa totalité, et brillamment », a déclaré Vladimir Poutine, dont le discours a été retransmis avec quelques heures de décalage. « La Syrie a été préservée en tant qu’Etat souverain et indépendant », a-t-il affirmé, remerciant les soldats pour leur travail.
Lancée en 2015, l’intervention militaire russe en Syrie a changé la donne en permettant notamment aux forces gouvernementales de ravir à l’Etat islamique (EI) la cité antique de Palmyre et de chasser les rebelles de leur bastion d’Alep, dans le nord-ouest du pays.
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