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Amath Dansokho à Fatick: "Macky Sall n’est pas un monstre froid de la politique"


Rédigé le Samedi 17 Mars 2012 à 10:49 | Lu 706 commentaire(s)



Amath Dansokho à Fatick: "Macky Sall  n’est pas un monstre froid de la politique"
Le Président du Parti de l’Indépendance et du travail, Amath Dansokho n’a pas tari d’éloges aujourd’hui, à Fatick à l’endroit de Macky Sall, le candidat de la coalition, Bennoo Bokk Yakaar. Il semble confirmer l’opinion de bon nombre de Sénégalais qui pensent que le maire de Fatick « est un phénomène de société ». « L’ascension de Macky Sall est unique en son genre. Macky Sall est de fait l’unificateur de notre peuple à un moment de crise extrêmement grave. Il y avait un projet de destruction de notre économie dans tous les domaines », a déclaré Amath Dansokho qui participait à un meeting régional de Bby.

Amath Dansakho a « salué l’engagement et la détermination » de M. Sall à défendre la République. Tout a en saluant l’ascension du maire de Fatick, Amath Dansokho a estimé que la tâche ne sera pas facile pour M. Sall. Mais il estime que les Sénégalais doivent le soutenir. « Abdoulaye Wade a bousillé toute l’économie du pays », dénoncé M. Dansokho.

Le président du Pit dit être convaincu que la « fin du régime de Wade a sonné ». « Il est déjà tombé à travers les images de foule déchainées de passionnés qui soutiennent Macky Sall. Wade n’a aucune ressource militaire ou populaire pour s’imposer », a dit Amath Dansokho. Il a ajouté : « Macky Sall n’est pas un monstre froid de la politique encore moins un semblant de celui qui nous a conduits à notre gouffre », a souligné Amath Dansokho.

Amath Dansokho a réaffirmé sa décision de défendre la République. « Quand il y a la bataille de la justice, il n’y a pas de parti, il faut se battre. Abdoulaye Wade ne respecte personne. La Loi n’existe pas pour lui. C’est pour les autres. C’est un partisan du despotisme. Il a dit qu’aucun Sénégalais ne peut le remplacer, il n’a pas encore trouvé », s’est indigné le président du Pit. M. Dansokho a poursuivi : « il a pensé que ses gênes vont le remplacer en pensant à son fils. Le peuple a dit non grâce aux hommes et aux femmes qui ont travaillé pendant très longtemps ».

ISSA NDIAYE





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