L’Assemblée nationale a examiné et voté, ce mardi 30 décembre 2025, le second projet de loi de finances rectificatives 2025, arrêté à 6 227 milliards FCFA. Sur 165 inscrits, 133 ont voté "pour" dont 5 par procuration, 127 "Pour", dont 35 par procuration, "Contre" 0 et abstinences 6. Au cœur des débats, la protection des secteurs sociaux, la régularisation des bourses étudiantes et une volonté affichée de rompre avec l'opacité budgétaire.
Lors de son plaidoyer devant les députés, le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a souligné que malgré les ajustements nécessaires, le gouvernement a maintenu ses priorités sociales. L'éducation demeure le premier poste budgétaire, avec des crédits dits « protégés ».
Cette priorité se traduit par trois axes majeurs notamment, « l'accès universel pour garantir une place à chaque enfant sénégalais, la qualité de l'enseignement afin de renforcer les acquis pédagogiques et le maintien des infrastructures dans le but d’assurer la pérennité des établissements scolaires ».
Le secteur de la santé bénéficie par ailleurs d'un traitement similaire. Le ministre a réaffirmé la protection des crédits destinés aux soins essentiels et le soutien constant à l'Assurance Maladie Universelle (AMU), piliers de la résilience sociale du pays. Le ministre a également rappelé que les forces de défense et de sécurité ont été prises en compte dans ces réajustements.
Face à l’opposition et aux préoccupations de députés, le gouvernement a annoncé une volonté de «rupture totale avec les pratiques anciennes ». L'accent a été mis sur le contrôle des «dettes cachées» et "la nécessité d'une transparence absolue" dans la gestion des ressources publiques.
Lors de son plaidoyer devant les députés, le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a souligné que malgré les ajustements nécessaires, le gouvernement a maintenu ses priorités sociales. L'éducation demeure le premier poste budgétaire, avec des crédits dits « protégés ».
Cette priorité se traduit par trois axes majeurs notamment, « l'accès universel pour garantir une place à chaque enfant sénégalais, la qualité de l'enseignement afin de renforcer les acquis pédagogiques et le maintien des infrastructures dans le but d’assurer la pérennité des établissements scolaires ».
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