La convocation du maire de Dakar, Khalifa Sall, par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles (Dic) fait partie d’une démarche républicaine qui veut que la reddition des comptes soit la règle. C’est l’avis du ministre délégué auprès du ministre de l’Economie des Finances et du Plan chargé du Budget, Birima Mangara.
«On ne peut pas mener des politiques publiques sans les évaluer, sans en mesurer l’impact auprès des populations destinataires de ces politiques publiques. En pareil cas, le gouvernement est fondé à utiliser des instruments qui sont à sa disposition, pour ne pas dire à sa possession pour procéder à des évaluations, à des revues pour voir est-ce que ces politiques marchent», a-t-il déclaré.
Birima Mangara qui était l’invité, ce matin, de l’émission «Objection» de la Sud Fm de soutenir qu’aussi bien le Premier ministre que le ministre de l’Economie et des Finances peut commanditer une évaluation «en dehors de toute considération partisane crypto-personnelle».
Et M. Mangara de conclure : «cette démarche est pour respecter le principe de la responsabilité, celui de la sauvegarde des deniers publics et celui de l’imputabilité. Dans toute action il y a ce qu’on appelle la reddition. Il faut toujours faire la reddition des comptes, le faire selon les règles d’éthique et de la déontologie».
«On ne peut pas mener des politiques publiques sans les évaluer, sans en mesurer l’impact auprès des populations destinataires de ces politiques publiques. En pareil cas, le gouvernement est fondé à utiliser des instruments qui sont à sa disposition, pour ne pas dire à sa possession pour procéder à des évaluations, à des revues pour voir est-ce que ces politiques marchent», a-t-il déclaré.
Birima Mangara qui était l’invité, ce matin, de l’émission «Objection» de la Sud Fm de soutenir qu’aussi bien le Premier ministre que le ministre de l’Economie et des Finances peut commanditer une évaluation «en dehors de toute considération partisane crypto-personnelle».
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