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Coronavirus dans le monde : carte du Covid-19 et bilan de la pandémie en Italie, Chine, aux Etats-Unis…

Plus de 2 millions de personnes sur la planète on été contaminées par le Covid-19, dont 134 000 en sont décédées. Point sur la situation dans le monde et bilan de l'épidémie en Chine, Italie, Espagne, Allemagne,



2 millions de personnes ont été contaminées par le Covid-19 dans 193 pays et territoires, et l'épidémie de coronavirus continue d'endeuiller la planète, avec plus de 134 000 décès depuis son apparition en Chine en fin d'année 2019. Les Etats-Unis sont le plus fortement touchés avec 28 554 décès pour plus de 644 348 cas. Viennent ensuite des pays européens, l'Italie avec plus de 21 000 décès, l'Espagne qui comptabilise pus de 19 000 morts, la France qui déplore plus de 17 000 victimes, mais aussi le Royaume-Uni avec plus de 12 000 personnes décédées des suites de la maladie.
 
Certains pays européens desserrent prudemment leurs restrictions face au coronavirus. L'Espagne a autorisé certains travailleurs, sous conditions strictes, à reprendre le chemin des usines et des chantiers depuis lundi. L'Italie permet la réouverture localisée et très limitée de certains commerces, comme les librairies. La France commence à élaborer son plan de déconfinement partiel qui devrait débuter le 11 mai. L'Allemagne compte rouvrir prochainement certains magasins et, à partir du 4 mai, les écoles et lycées. Aux Etats-Unis, Donald Trump annonce sa hâte de redémarrer l'économie, quand bien même le Covid-19 continue à semer la mort partout à travers le monde. Si l'Europe et les Etats-Unis parlent désormais de déconfinement, des pays comme la République démocratique du Congo où le virus a fait 21 morts, restent encore sur le qui-vive. Les autorités congolaises craignent en effet "le pire" dès début mai à Kinshasa où l'épidémie "entre dans une phase exponentielle".
 
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a répété qu'il fallait privilégier un déconfinement "lent" face à un virus "mortel". "Nous devons travailler en étroite collaboration contre le Covid-19. Un des meilleurs investissements est de renforcer les Nations unies, en particulier l'OMS", a souligné le chef de la diplomatie allemande Heiko Maas. Le patron de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a précisé que le Covid-19 était dix fois plus dangereux que celui de la grippe H1N1. "L'ère de la globalisation signifie que le risque de réintroduction et de résurgence de Covid-19 va continuer", a ainsi déclaré le président de l'organisation. Mercredi, le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy a estimé devant les sénateurs que 18 millions de Français "à risque" devraient rester confinés après le 11 mai. Il évoque les citoyens de plus de 65 ou 70 ans, ceux qui souffrent de pathologies lourdes et les personnes obèses.
 
 
Pour aider les pays les plus pauvres face à la pandémie de coronavirus, en particulier en Afrique, les pays les plus industrialisés du G7 ont pris mercredi la décision "historique" de suspendre pour un an le remboursement de leur dette. De quoi apporter une bouffée d'air frais à ces nations, cette suspension temporaire de la dette permet de les soutenir et les aider à "faire face aux impacts sanitaires et économiques" de l'épidémie, relate le G7.

Coronavirus au Royaume-Uni
Mercredi 15 avril, le gouvernement britannique a annoncé 761 décès supplémentaires contre 813 la veille. Un chiffre qui repart légèrement à la baisse. Le pays comptabilise au total près de 100 000 cas de Covid-19 et près de 13 000 décès des suites de la maladie. Le Royaume-Uni devrait se prononcer ce jeudi sur une probable prolongation du confinement, tout comme l'ont fait ses pays voisins européens. Les "mesures actuellement en vigueur" ne devraient pas être levées tout de suite afin d'endiguer la pandémie de coronavirus, le pays n'ayant "toujours pas passé le pic" de l'épidémie, a annoncé en début de semaine le ministre britannique des Affaires étrangères Dominic Raab, qui dirige provisoirement le gouvernement en l'absence de Boris Johnson, se remettant de la maladie.
 
Ce "pic" devrait arriver dans les prochains jours selon les autorités britanniques. "Nous sommes à peu près deux semaines derrière la France, quelques semaines derrière l'Italie en termes de chiffres" de contaminations et de décès, a déclaré le conseiller scientifique du gouvernement Patrick Vallance, présent. Dominic Raab avertit qu'il est "trop tôt" pour assouplir les mesures de distanciation sociale mises en place dans le pays, il faut attendre que le "pic" soit franchi, ce qui n'est pas attendu avant plusieurs semaines. "Notre priorité immédiate est de ralentir la propagation du virus", a-t-il souligné. "Nous commençons à voir les effets des sacrifices", mais "nous n'y sommes pas encore, il faut continuer", a-t-il annoncé. Le Royaume-Uni pourrait subir une chute historique de 13% de son produit intérieur brut (PIB) en 2020, en raison du coup d'arrêt infligé par le coronavirus, selon un scénario fondé sur un confinement du pays de trois mois, a annoncé mardi un institut public.
 
Coronavirus en Inde
Le gouvernement indien a annoncé mardi la prolongation au moins jusqu'au 3 mai du confinement de ce pays, entamé le 25 mars. La  quasi-totalité des activités sont à l'arrêt, et les 1,3 milliard d'habitants ont l'obligation de rester chez eux. Cependant, une partie de la population pourrait reprendre le travail la semaine prochaine. Cette annonce de poursuite des mesures de confinement a provoqué des scène de chaos, notamment à Bombay, ou des centaines de travailleurs, des migrants intérieurs, se sont précipités à la gare Bandra, sans protection pour essayer de rentrer chez eux, dans leur village d'origine afin d'être avec leur famille. Pour tenter de disperser la foule, les forces de l'ordre ont dû user des coups de lathis, de longs bâtons. Beaucoup espéraient la fin du confinement dans le pays.
 
L'Inde a recensé depuis le début de l'épidémie de coronavirus 12 456 cas confirmés et 423 morts des suites de la maladie, selon le dernier bilan officiel, vraisemblablement sous-estimé en raison de la faiblesse du dépistage du Covid-19. Alors que la population est appelée à rester chez elle, le confinement menace de virer au cauchemar pour les plus pauvres, comme par exemple pour les habitants des bidonvilles surpeuplés comme celui de Dharavi, où la densité est estimée à 270 000 personnes par kilomètre carré. Les mesures de confinement n'y sont pas faciles à respecter, surtout la distanciation de 1 mètre préconisée par l'OMS. C'est le cas également dans les centres d'accueil surchargés. Ils n'ont pas d'endroits où aller, et ne peuvent pas se nourrir. Les risques de contagion y sont réels. Si le virus venait à s'y propager, les conséquences humaines et économiques y seraient dramatiques. Les mesures de confinement ne pourront pas endiguer la propagation du Covid-19 dans ces refuges estime Henk Bekedam, représentant de l'OMS en Inde. "Nous allons devoir trouver une solution", admet-il. La police indienne avait bouclé vendredi une partie des accès à Dharavi, l'un des plus grands bidonvilles d'Asie, dont les ruelles étroites et surpeuplées sont mondialement connues depuis le film "Slumdog Millionnaire", touché par le nouveau coronavirus.
 
En raison du confinement national en place depuis fin mars dans le pays de 1,3 milliard d'habitants, les corps d'hindous décédés à travers l'Inde et venant se faire incinérer à Varanasi (Uttar Pradesh, nord) n'arrivent plus jusqu'aux fameux ghats, ces quais en escaliers qui tombent dans le fleuve. De 200 à 300 corps brûlés quotidiennement en temps normal, seules 30 à 40 funérailles de locaux s'y tiennent désormais chaque jour. Dans la croyance hindoue, être incinéré à Varanasi permet la libération de l'âme et la sortie du cycle des réincarnations. "Nous n'avons pas arrêté de travailler", explique à l'AFP Jagdish Chaudhary, un responsable des crémations du ghat Manikarnika, principal lieu de funérailles hindoues de la ville, "mais aucun d'entre nous n'avait vu de notre vivant une telle baisse et les ghats déserts le long du fleuve".
 
Coronavirus en Allemagne
Une nouvelle hausse du nombre de cas en Allemagne a été constatée selon le bilan publié ce jeudi par l'Institut Robert Koch qui dévoile chaque jour un point de situation sur l'épidémie de coronavirus en Allemagne. 2866 personnes de plus ont été infectées pour un total de 130 450 personnes contaminées dans le pays depuis le début de l'épidémie de Covid-19. 315 personnes de plus sont décédées en 24h, portant le bilan à 3569 morts.
 
Mercredi, Angela Merkel a officialisé la politique de déconfinement qui sera pratiqué ces prochaines semaines. Les grands événements publics, tels que les rendez-vous sportifs, seront ainsi interdits au moins jusqu'au 31 août prochain. La saison de football devrait pouvoir reprendre mais se déroulerait dans des stades vides. En revanche, les commerces de moins de 800m2 vont pouvoir rouvrir dès le lundi 20 avril. Sous réserve du respect des mesures barrières, ces commerces (libraires ou garagistes par exemple) vont pouvoir rouvrir, a confirmé la chancelière. Le port du masque sera "expressément recommandé" dans les magasins ou transports publics et dans les lieux à forte densité de population. Les écoles vont commencer à rouvrir à partir du 4 mai en commençant par les niveaux préparant un diplôme. Avec le soutien des grandes firmes industrielles, le pays devrait passer d'ici la fin du mois d'avril à 200 000 tests quotidiens avec résultats fournis en quelques heures.
 
Le coronavirus a tué plus de 3500 personnes en Allemagne, où l'épidémie se concentre surtout dans trois régions, la Rhénanie du Nord Westphalie et ses grands centres urbains et industriels, le Bade-Wurtemberg qui comprend Stuttgart et Francfort ainsi que la Bavière au sud. Si le patient zéro revenu de Wuhan avait rapidement été identifié, les principaux clusters de contamination venaient du sud du pays ou de l'Autriche, des skieurs qui avaient participé à des fêtes en Autriche. Cette population, plutôt jeune, a mieux réagi au virus et a été rapidement identifiée et isolée. Une réussite autant qu'une chance selon plusieurs médias…
 
Coronavirus au Portugal
Avec 18 000 cas pour moins de 600 morts, le Portugal continue à bien résister face à l'épidémie de coronavirus. Mais la prudence reste de mise car le pays se sait difficilement capable de résister à une vague épidémiologique en raison d'un système hospitalier au bout de ses capacités après dix ans d'austérité et de coupes budgétaires consécutives à la crise économique de 2008 et ses conséquences. Résultat, l'état d'urgence et les mesures de confinement seront bien prolongés. En vigueur jusqu'au 17 avril, elles devraient se poursuivre jusqu'à la fin du mois d'avril. Les dirigeants portugais ont confirmé la nouvelle, annonçant une "transition progressive" vers une reprise économique et des activités au mois de mai.
 
L'état d'urgence est une première au Portugal depuis 1974 et la chute de la dictature. Le week-end de Pâques avait été marqué par un durcissement provisoire des mesures pour empêcher tout déplacement et mouvements de population lors d'une période où, traditionnellement, la diaspora portugaise a l'habitude de venir fêter Pâques au pays. Les aéroports avaient été fermés pour l'occasion, et l'état d'urgence renforcé. Les habitants ne pouvaient pas quitter leur commune de résidence, à l'exception de ceux travaillant dans les secteurs d'activité dits essentiels et toujours autorisés. Le Portugal avait fermé ses frontières avec l'Espagne dès la mi-mars avant d'instaurer des mesures de fermetures des établissements publics et des écoles.
 
Coronavirus en Belgique
Le confinement sera en vigueur en Belgique jusqu'au 3 mai prochain. Les autorités ont entériné mercredi un prolongement de ces mesures, débutées le 19 avril dernier dans le pays.La Première ministre, Sophie Wilmès, a également précisé qu'aucun "événement de masse" ne pourra être organisé dans le pays jusqu'au 31 août. En revanche, des mesures d'assouplissement ont été prises pour les magasins ou les visites aux personnes âgées. "Pour que cette prolongation soit plus soutenable pour tous, nous avons décidé que les pépinières et les magasins de bricolage pourront rouvrir aux mêmes conditions que les magasins d'alimentation. La distances de sécurité devra donc être observée ", a annoncé Sophie Wilmès. La Première ministre a donné des précisions sur les visites aux personnes âgées dans les maisons de repos : "Les maisons de repos et les centres dans lesquels se trouvent des personnes en situation d'handicap, pourront recevoir des visites. Une seule personne sera autorisée. Cette règle s'appliquera aussi aux personnes isolées qui ne sont pas en mesure de se déplacer." La politique de déconfinement progressif sera peu à peu annoncé ces prochaines semaines après la tenue d'une réunion de crise la semaine prochaine. La Première ministre a d'ores et déjà précisé que le port du masque sera recommandé et "important" lors du déconfinement.
 
La Belgique est le pays européen qui compte le plus de morts pour 100 000 habitants (34,2). Le pays déplore en effet plus de 4400 morts depuis le début de l'épidémie et la courbe s'est brutalement accélérée depuis dix jours. Le dernier bilan dévoilé ce mercredi 15 avril à la mi-journée fait état de 2454 nouveaux cas confirmés sur les dernières 24 heures pour un total de 33 573 cas depuis le début de l'épidémie dont 19.666 cas (59%) en Flandre, 9999 (30%) cas en Wallonie, et 3404 (10%) cas à Bruxelles. Le pourcentage restant n'est pas localisé. 283 nouveaux décès ont été rapportés au cours des dernières 24 heures, dont 76% en Flandre qui reste la région la plus touchée. Le nombre de décès depuis le début de l'épidémie en Belgique est passé à 4440 dont 2243 (51%) en Flandre, 1523 (34%) en Wallonie, et 674 (15%) à Bruxelles.
 
Coronavirus en Algérie
L'épidémie de coronavirus continue de progresser en Algérie. Après avoir franchi le cap des 2000 contaminations mardi, le pays compte désormais 2160 cas selon le dernier bilan fourni par le ministère de la Santé. 10 nouveaux décès ont également été officialisés pour un total de 336 décès depuis le début de l'épidémie dans le pays. Blida reste la région la plus touchée avec 22 nouveaux cas constatés et 597 contaminations au total. Alger enregistre de son côté 12 nouveaux cas positifs pour un total de 380 cas de Covid-19. 47 wilayas (préfectures) sur les 48 du pays sont concernées par des cas de Covid-19.
 
Les autorités soulignent toutefois ces derniers jours que le nombre de nouveaux cas baisse à Blida mais rappellent chaque jour les mesures de confinement et les gestes barrières à respecter. Un numéro vert d'information, le 3030, a été mis en place. Le pic de l'épidémie n'est pas attendu avant le 20 avril selon un membre du comité scientifique de suivi de l'évolution de la pandémie du coronavirus en Algérie. Pour rappel, l'administration de chloroquine aux malades a été validée fin mars. "Actuellement, le protocole mis en place est destiné aux personnes qui sont considérées comme des personnes à risque et qui ont des pathologies chroniques associées quelle que soit leur forme. Il est destiné également aux patients qui ont des formes compliquées ou sévères", avait expliqué fin mars Smail Mesbah, membre du conseil scientifique réuni par les autorités.
 
Coronavirus au Maroc
Selon le dernier bilan disponible, le Maroc a franchi cette semaine le cas de 2000 cas de Covif-19 recensés dans le pays. Le royaume compte 2024 cas pour 127 décès. La région de Casablanca est la plus touchée (521 cas), suivie de Marrakech (335 cas) et de Rabat (225 cas). Les mesures de confinement strict restent en vigueur mais sont difficilement suivies dans les zones de population dense où l'arrêt des activités économiques a de graves conséquences pour une population qui vit essentiellement de petits boulots et ne dispose pas de couverture sociale. Pour rappel, le port du masque a été imposé, le royaume a débloqué un fonds de subvention pour les fournir à bas prix et s'est lancée dans une politique de production intensive de masques avec pour objectif à court terme de parvenir à en exporter.
 
Le royaume est également devenu le premier Etat au monde à généraliser l'utilisation de la chloroquine pour tous les malades. Le Maroc a même racheté dès le milieu du mois de mars tout le stock de Nivaquine (chloroquine) et de Plaquenil (hydroxychloroquine) à la filiale marocaine du laboratoire Sanofi. Pour contrer l'épidémie, le pays avait rapidement suspendu début mars ses liaisons avec l'Espagne et la France avant d'annoncer la fermeture des établissements scolaires (crèches, écoles, collèges, lycées et universités) le 16 mars dernier. Les établissements publics (cafés, restaurants, cinémas, salles des fêtes…) ont ensuite fermé, annonce suivie de l'instauration de l'état d'urgence sanitaire le 22 mars. Le confinement a finalement été instauré et personne ne peut quitter son domicile sans une attestation de déplacement dérogatoire délivrée par les autorités ou l'employeur.
 
Coronavirus en Afrique
Qu'en est-il sur le reste du continent africain ? La pandémie de coronavirus a aussi gagné l'Afrique subsaharienne et la situation du continent inquiète. Le dernier bilan dévoilé mercredi 15 avril faisait état de 16 640 cas confirmés de coronavirus sur le continent, pour 878 décès. 52 des 54 pays africains sont touchés, seuls le Lesotho et l'archipel des Comores ne déclarent pas de cas. L'Afrique du Sud, l'Egypte, le Maroc et l'Algérie ont dépassé les 2000 cas, suivis du Cameroun, de la Tunisie, de la Côte d'Ivoire et du Ghana. Pays le plus touché du continent, l'Afrique du Sud a dépassé ce mercredi les 2400 cas confirmés et déplore 27 morts. Mais les chiffres interrogent quand on sait que le pays a effectué 73 000 tests (un record sur le continent) pour une population de 57 millions d'habitants selon l'AFP.
 
Autre exemple, le Nigéria, géant africain avec ses 190 millions d'habitants, n'aurait effectué que 5000 tests... Le confinement a été instauré presque partout mais peut être difficilement suivi, notamment dans les quartiers populaires où la densité de population est forte et où le confinement ne peut être qu'illusoire tant le besoin de trouver de la nourriture est essentiel. En Côte d'Ivoire, l'état d'urgence a été prolongé jusqu'au 30 avril et les établissements d'enseignement supérieur seront fermés jusqu'au 17 mai.
 
"Je ne suis ni dans les catastrophistes, je ne veux pas être non plus dans les naïfs. Ce virus aujourd'hui, il touche tout le monde, a souligné Emmanuel Macron à RFI mardi 14 avril. Donc je ne pense pas qu'il faille collectivement dire qu'un miracle préserverait l'Afrique. En tout cas, si ça pouvait arriver, formidable, et je le souhaite profondément. Mais notre devoir est de tout faire pour aider l'Afrique dans ce contexte. L'Afrique aujourd'hui a une vulnérabilité sanitaire : il y a le VIH, la tuberculose, la malaria… C'est d'ailleurs pour ça qu'on s'est mobilisés à Paris, en octobre dernier, pour le Fonds mondial, pour aider aussi l'Afrique en particulier à se battre contre ces grandes pandémies."

 

linternaute.com

Jeudi 16 Avril 2020 - 15:01


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