Le groupe pharmaceutique américain Johnson & Johnson (J&J) a indiqué, mardi 13 avril, qu'il avait "pris la décision de retarder le déploiement" de son vaccin unidose contre le Covid-19 en Europe après la décision des autorités sanitaires américaines de recommander "une pause" dans son utilisation aux États-Unis.
Les principales agences fédérales américaines de santé publique ont déclaré mardi qu'elles souhaitaient enquêter sur six cas de personnes ayant développé des cas graves de caillots sanguins après avoir reçu le vaccin.
Johnson & Johnson "est en train d'étudier ces cas avec les autorités européennes de santé", a indiqué le groupe dans un message transmis à l'AFP.
Dans un communiqué commun, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et l'autorité américaine des médicaments (FDA) recommandent "une pause dans le recours à ce vaccin, par mesure de prudence", d'ici à ce que les analyses approfondies des cas rapportés soient terminées.
"À l'heure actuelle, ces effets indésirables semblent extrêmement rares", avec six cas identifiés sur plus de 6,8 millions de doses du vaccin de J&J déjà administrées aux États-Unis, mais l'innocuité des vaccins est "la priorité absolue" du gouvernement fédéral, soulignent les deux agences.
La France et l'Organisation mondiale de la santé ont donné, au milieu du mois de mars, leur accord à l'utilisation du vaccin conçu par ce laboratoire américain et qui devait être livré en Europe à partir du 19 avril. Ce vaccin ne nécessite qu'une seule injection et se conserve dans un simple réfrigérateur.
L'Agence européenne des médicaments (EMA) avait annoncé, vendredi dernier, examiner un lien possible entre le vaccin de J&J et des cas de caillots sanguins.
Les principales agences fédérales américaines de santé publique ont déclaré mardi qu'elles souhaitaient enquêter sur six cas de personnes ayant développé des cas graves de caillots sanguins après avoir reçu le vaccin.
Johnson & Johnson "est en train d'étudier ces cas avec les autorités européennes de santé", a indiqué le groupe dans un message transmis à l'AFP.
Dans un communiqué commun, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et l'autorité américaine des médicaments (FDA) recommandent "une pause dans le recours à ce vaccin, par mesure de prudence", d'ici à ce que les analyses approfondies des cas rapportés soient terminées.
"À l'heure actuelle, ces effets indésirables semblent extrêmement rares", avec six cas identifiés sur plus de 6,8 millions de doses du vaccin de J&J déjà administrées aux États-Unis, mais l'innocuité des vaccins est "la priorité absolue" du gouvernement fédéral, soulignent les deux agences.
La France et l'Organisation mondiale de la santé ont donné, au milieu du mois de mars, leur accord à l'utilisation du vaccin conçu par ce laboratoire américain et qui devait être livré en Europe à partir du 19 avril. Ce vaccin ne nécessite qu'une seule injection et se conserve dans un simple réfrigérateur.
L'Agence européenne des médicaments (EMA) avait annoncé, vendredi dernier, examiner un lien possible entre le vaccin de J&J et des cas de caillots sanguins.
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